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> Travaillez dans la banque, on lira votre mail à votre place !
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> Travaillez dans la banque, on lira votre mail à votre place !,
Emmanuel,
23 novembre 2000
Je viens de lire votre texte sur les courriers éliminés par les employeurs. Personnellement, vous m’enverriez une lettre pareille, je peux vous assurer que je m’arrangerais pour vous bloquer définitivement. Les entreprises (et les gens qui y travaillent) sont là pour faire des Je travaille beaucoup, pour ma part, de mon ordinateur. Je déteste recevoir Iriez-vous prendre un café à l’urgence d’un hopital avec un copain médecin Vous croyez vraiment que le temps de travail ne vaut rien et que l’on peut Si on ne vous demande rien, vous n’avez pas à vous imposer ni à envoyer du Mais, au bureau, franchement ! en ligne : http://www.minirezo.net/article293.html
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> Travaillez dans la banque, on lira votre mail à votre place !,
Antoine,
24 novembre 2000
Je viens de lire votre texte sur les courriers éliminés par les employeurs. Les entreprises (et les gens qui y travaillent) sont là pour faire des affaires et Je travaille beaucoup, pour ma part, de mon ordinateur. Je déteste recevoir Relisez l’article, il parle d’une lettre d’information envoyée à des gens qui s’y sont abonnés volontairement.
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> Travaillez dans la banque, on lira votre mail à votre place !,
diogene1945,
28 novembre 2000
L’employé est 35 heures par semaine a son travail. Il lui reste donc (7*24)-35=133 heures par semaine Je ne vois là aucune privation de liberté. Le fait que le contrat de travail stipule que la correspondance privée doit etre exclue de l’activité salariée ne me choque pas. Maintenant si un salarié a négocié son contrat de travail pour pouvoir faire sa correspondance privée pendant ses heures de travail, alors, il est inadmissible que l’employeur l’espionne. A+
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> Travaillez dans la banque, on lira votre mail à votre place !,
Raja Flatterie,
19 décembre 2000
J’espère que je ne je ne vais pas trop parasiter votre boite et votre temps. Bien que si vous soyez sur ce forum c’est que vous acceptez de recevoir une réponse. Effectivement, une entreprise s’attend à ce que ses employés soient efficaces, et mènent à bien leur mission. Mais, je ne crois pas que le problème soit celui de l’efficacité et du rendement. Dans le cas qui nous intéresse : une institution décide arbitrairement quelles informations doit recevoir ou pas une personne, sans son consentement.
En cela c’est une atteinte aux libertés d’expression et de penser des individus. En cela c’est une attitude condamnable. Maintenant penser que la maximisation du profit est un argument suffisant pour donner le droit de violer ce principe démontre un mécanisme de réflexion paranoïaque développé par les cadres dirigeants actuels. Elle renvoie aux principes suivants : Le salarié est un animal doué d’une intelligence sommaire, qui ne peut gérer seul son activité, son emploi du temps. ( A mon sens un employé est tout à fait capable de faire le choix comme vous de bloquer ou non des messages s’il les juge inopportuns. Croire le contraire c’est nier sa capacité de réflexion).
Une telle attitude ne peut entraîner à long terme qu’une crispation des relations sociales dans l’organisme pour déboucher sur des conflits qui eux feront chuter la productivité et la le profit de l’entreprise. Je conclurai en vous faisant remarquer qu’en knowledge management, une des conditions pour une bonne intégration du réseau intranet/extranet est dans un premier temps de laisser passer les informations les plus banales. Météo, infos sur les activités sociales de l’entreprise, etc, sont inutiles pour le travail immédiat, mais permettent "d’accrocher" les salariés à l’usage du réseau pour trouver de l’information.
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Qui a besoin d’un cerveau pour travailler ?,
protozoaire,
24 avril 2001
La façon dont les dirigeants appréhendent le travail de leurs subordonnés m’amuse toujours. Vous devriez savoir que le travail ne se limite pas aux 8 heures quotidiennes qui lui sont allouées. Qu’une " mission " - puisque nous ne sommes pas là pour travailler mais pour remplir une mission, ô noble cause ! – occupe toujours plus que le temps imparti. Mais nos chers patrons oublient toujours le temps que l’on passe en dehors du sacro-saint bureau à réfléchir à leurs objectifs. L’homme n’a pas au fond de lui un interrupteur qui s’enclenche en même temps que la lampe de son bureau. Personnellement, (et je ne suis qu’un modeste employé) mes " missions " m’occupent au réveil, lorsque je réfléchis à ma journée devant mon café, lorsque je suis dans les transports en communs, entre midi et deux, le soir en partant, certains week-ends et parfois même dans mes rêves au cours de nuits agitées. Que doit-on penser de toutes ces heures que vous ne prenez pas en compte. À moins que vous ne préfériez choisir uniquement des collaborateurs pourvus de superbes ornières, seuls aptes à accomplir des tâches répétitives, mais sans esprit d’entreprise. On ne peut pas tout avoir…
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> Qui a besoin d’un cerveau pour travailler ?,
Phant0w,
5 juillet 2001
Tout a fait d’accord ! meme si je pense que s’abonner à une lettre d’info SUR SON MAIL DE TRAVAIL est légerement abusé......(ce qui pose la question sur le regards des dirigeants sur les mails professionnels de leurs employés..cf contrat de travail ). La solution pour ne pas etre ennuyé envoyer la lettre sur une boite perso....ou la rediriger vers sa boite pro sous un nom camouflé (en cas de filtrage des site de messagerie gratuite...) |