Selon le quotidien Libération (24 mai), « un communiqué commun ­ signé tout à la fois par des sociétés de gestion des droits des artistes-interprètes, des associations de consommateurs et familiales ­ doit être rendu public aujourd’hui ou demain », dénonçant la dérive répressive de la « croisade » des producteurs de disques contre l’échange gratuit de musique via l’internet.

Parmi les signataires de ce communiqué, on trouverait, côté artistes-interprètes : Adami (Société civile pour l’administration des droits des artistes et musiciens interprètes), Spedidam (Société de perception et de répartition des droits des artistes interprètes de la musique et de la danse), Syndicat français CGT des artistes-interprètes, Snam (Syndicat national des artistes musiciens). Côté « public » : UFC-Que Choisir, CLCV (Consommation, logement et cadre de vie), Ligue de l’enseignement, Unaf (Union nationale des associations familiales) ; côté « public » : UFC-Que Choisir, CLCV (Consommation, logement et cadre de vie), Ligue de l’enseignement, Unaf (Union nationale des associations familiales).