Amazon propose aux employés qu’il licencie des stock-options, assorties cependant de
la signature d’une clause de non-dénigrement par laquelle ils s’engagent à ne pas « faire de
commentaire désobligeant au sujet de l’entreprise, sous toute
forme, aussi bien écrite, électronique ou orale, à la presse, à
n’importe quel individu ou entité ». Accessoirement, l’accord
contient également « 17 pages de jargon juridique qui ont de
sérieuses implications sur les droits de ces employés », selon
un mouvement américain pour l’action syndicale dans les
nouvelles
technologies.