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Le problème de l’accès à l’information sur son
lieu de travail et durant ses heures de travail,
bien que les documents récupérés grâce à la
connexion de l’ entreprise, puissent servir en
dehors de son temps de travail, durant les
pauses ou après la journée, est une véritable
question de liberté individuelle. Nous avions cru
disparu au tournant des deux derniers siècles la
figure de l’entreprise paternaliste qui juge à la
place de ses « enfants » employés ce qui est
bon pour eux et ce qui ne l’est pas. Internet
aujourd’hui révèle le visage de certaines
entreprises de manière publique.

On vient de nous signaler qu’il est impossible
pour des personnes d’envoyer à leurs relations à
l’intérieur du groupe BNP-Paribas des extraits du
Courriel d’information. Il y a quelques mois il
s’agissait d’un tri par l’origine du courrier
électronique, aujourd’hui la chose devient plus
sophistiquée : « Le message que vous avez
envoye avec le sujet "Re : dernier bulletin
d’ATTAC" a ete bloque par la passerelle Internet
de BNPPARIBAS. Ce message et/ou ses pieces
jointes contenait(ent) une ou des expression(s)
sensible(s). L’ensemble a ete detruit. Une
notification a ete adressee au(x)
destinataire(s) »

[...] »