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> Parthenay, ville numérisée perdue...
6 août 2004,
message de Suske
Mais peut-être pas pour tout le monde ? en ligne : Quand une expérience pilote fait sa pub
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> Parthenay, ville numérisée en perdition ?
13 décembre 2001,
message de Fillon xavier
Je croyais que ... |
> Parthenay, ville numérisée en perdition ?
11 avril 2001,
message de kruel
BON, salut les gars kruel de PARTHENAY |
> Parthenay, ville numérisée en perdition ?
5 avril 2001,
message de Antoine
Tiens, ça en parle dans Libé. Extrait : « On va continuer, explique Gilbert [un adjoint au maire]. Il y a une en ligne : Les cobayes débranchent Parthenay
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> Parthenay, ville numérisée en perdition ?,
Nicole FAUCHER ,
6 avril 2001
Je trouve cette réponse de l’adjoint au nouveau maire de PARTHENAY, vous savez, celui qui habite et travaille à PARIS !
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> Parthenay, ville numérisée en perdition ?,
14 mai 2001
Au milieu du bric-à-brac inventé par le XXe siècle, l’internet reste un des rares outils vraiment importants. |
> Parthenay, ville numérisée en perdition ?
5 avril 2001,
message de Olivier Zablocki
Ce débat est capital. Il y a quelques jours nous nous interrogions sur le liste de diffusion re-publique@re-publique.net sur les raisons de l’échec des politiques qui avaient énormément investi sur l’Internet au niveau local. La défaite sans appel de Michel Hervé à Parthenay, et cela dès le premier tour, est bien sûr particulièrement emblématique. Il faut croire que tout n’allait pas pour le mieux dans le meilleur des mondes. Hier l’élu perdait son jouet ce qui n’est pas grave, aujourd’hui les citoyens perdent deux forums à accès libre ce qui porte beaucoup plus à conséquence. Mais qui est vraiment responsable ? La nouvelle municipalité qui visiblement ne brille pas particulièrement par sa clairvoyance ou la municipalité sortie qui a mis en place un miroir aux alouettes : Je cite Henri van de Kraats : L’Intownnet, outil appartenant aux citoyens et dépendant directement du District de Parthenay C’est bien là que j’observe une illusion. Quel était le statut de l’Intownnet ? L’outil n’appartenait-il pas aux citoyens seulement de manière subliminale ? S’ils en avaient été les propriétaires directs, dans le cadre d’une coopérative par exemple, j’imagine que la censure d’aujourd’hui n’aurait pas pu faire ses ravages aussi facilement. pourquoi ne pas avoir provoqué une concertation avec les internautes-citoyens, premiers concernés par cette censure abrupte dans leur espace ? J’ai envie de dire tout simplement parce que rien dans le statut de l’Intownnet n’obligeaitles nouveaux élus à le faire. Autrement dit parce qu’à Parthenay (comme dans les autres villes numérisées en échec aujourd’hui) la " Ville numérisée " était un instrument de la société politique pour la société politique, et que la société civile d’une part, la société économique d’autre part n’en ont jamais été des partenaires à parité. L’ouverture d’hier était le fait du prince, la fermeture aujourd’hui tout autant. Le problème est précisément là. Amicalement, Olivier Zablocki en ligne : Ré-publique Point Net
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> Parthenay, ville numérisée en perdition ?,
Tiresias,
5 avril 2001
Je suis bien d’accord avec OZ. Sauf que la parité des "sociétés" ne me semble pas avoir grand sens... L’expérience Parthenay n’est pas morte, elle n’est simplement jamais née pour être perenne, faute que son initialisation soit assise sur autre chose que ce qui descend du haut vers le bas, et s’octroie ou se reprend. Citoyens (mot mode :)deçus, édiles embarrassés de la chose, et finalement rien de fondamental pour la majorité, vraisemblablement...Il faut sans doute reprendre l’initiative autrement. Merci pour l’article, et bon courage pour la suite.
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> Parthenay, ville numérisée en perdition ?,
Pludici,
9 avril 2001
La remarque sur la non pérennité intrinsèque du concept "Parthenay Ville Numérisée" est tout à fait pertinente mais également perverse. Elle semble reposer ce constat : c’est parce que les citoyens/acteurs n’en étaient pas les réels maîtres que le cordon a pu être coupé. C’est pertinent. Le maître de l’affaire était le Maire : un citoyen comme les autres que le suffrage universel consacre et qui, l’espace d’un mandat, décide et propose. C’est le principe même de la délégation démocratique, me semble-t-il. Lors donc le citoyen/acteur est bien maître du jeu, par délégation. Le Maire change. Le nouveau Maître est, par le même processus, habilité à changer la nature du concept. Du moins dans ce débat. Je n’ai pas le sentiment que le concept ait été le véritable enjeu de ces élections, tout au plus une vitrine derrière laquelle s’est joué un drame. Le drame d’une sans doute très bonne idée qui n’a pas été partagée par le plus grand nombre. Il y avait sans le moindre doute une trop grande distorsion de nombre entre celui des "citoyens" et celui des "acteurs". Ce sont les citoyens qui votent le dimanche ; ce sont les acteurs qui aujourd’hui sont, pour la plupart, choqués et meutris. Que n’ont-ils entendu les citoyens qui auraient aimé que l’on s’attarde aussi sur leurs petits besoins, sur leurs petits trottoirs, sur leurs petits emplois, sur leur petite garderie, que sais-je encore, sur leur petite vie. Bref que l’on s’occupe d’eux au-delà d’un outil merveilleux mais sans doute un peu froid et lointain. Pour ce qui est du nouvel édile, chacun comprendra qu’il puisse prendre peur, un peu, devant l’accablant déluge on the web. Il a coupé. Il a eu tort mais au moins il doit se sentir plus tranquille. Fichons-lui donc la paix, il est probablement plus effrayé que censeur. Trêve de nostalgie, reprendre l’initiative autrement qu’il disait Tiresias. |