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Prix Debord de la marchandise spectaculaire intégrée
mercredi 22 janvier 2003
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LES BRÈVES
jeudi 1er février
mardi 16 mars
mercredi 4 février
mercredi 21 janvier
mercredi 14 janvier
lundi 27 octobre
mercredi 14 mai
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Act Up Paris, le GISTI, No-Log - Globenet membres de la fédération Informatique et libertés (FIL) qui participe à l’organisation et au soutien des Big Brother Awards France ont été récompensés par un prix Voltaire grâce au jury indépendant des Big Brother Awards France. Félicitations à tous ! |
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> Prix Debord de la marchandise spectaculaire intégrée
20 juin 2003, par mulder
Titre prometteur mais contenu de la brève fort indigent (sur le plan de l’analyse) !! Ma traduction : les nouveaux avatars de la gauche caviar ? ;-)autre version : congratulations caviardesques ? Vu et revu !! Quid debordium analyticum ? Par contre, effectivement un prix Debord, ça pourrait avoir une certaine gueule : chsais pas, qqc comme un prix "cassage de briques dialectiques" ou un prix "application des concepts clausewitziens au dévelopement d’internet" ?
> Prix Debord de la marchandise spectaculaire intégrée
20 juin 2003, par mulder
Enfin, après lecture de la page très argumentée de médito (cf brève "Inceste") : il a raison, c’est franchement incestueux. Donc, bravo tout de même à l’auteur de la brève : il fallait que cela fut dit ! Qui a dit "Dieu me préserve de mes amis, mes ennemis, je m’en charge !" ? |
Inceste ?
7 février 2003
Interrogation du 18 janvier INCESTE ? Big Brother Award, IRIS, Samizdat, Act-Up, Réseau Voltaire, KITETOA... |
> Prix Debord de la marchandise spectaculaire intégrée
5 février 2003, par Uzine Nouvelle
Je n’ai absolument pas été convaincue par votre argumentation et je ne vois vraiment ce qui vous pousse à attaquer les BBA. Regardez-vous, bien en face, et pas seulement au niveau du nombril. Regardez ce que vous faites, votre propre action, votre propre utilité. A quoi servez-vous ?
Le retour du mutant de l’espace
5 février 2003, par Lirresponsable
Je n’ai absolument pas été convaincue par votre argumentation c’est ton droit, [et ton choix ; NDLR], et vraiment aimable de nous en faire part, mais pour discuter un peu, il faudrait une analyse concurrente...hum ? Tu vois amie, un troll de niveau 3 (Bonus étiquette +4) aurait écrit par exemple "une vision caricaturale et poujadiste dénotant une paranoïa stalinienne et un fascime masqué". D’accord, c’est aussi con, mais cela mime davantage une vraie réponse qui examine ce qui a été dit. Regardez-vous, bien en face, et pas seulement au niveau du nombril. ô joli miroir, t’est-il venu à l’esprit que parler de nombril avec ce sujet était tout simplement délicieux ? ;) .Regardez ce que vous faites, votre propre action, votre propre utilité. Ouais je regarde....Je regarde toujours...Je regarde à nouveau (je me dis : hum quelle sacrée ruse de maître dialectique et quel brio que de retourner ainsi l’accusation en questionnant l’utilité de celui qui critique, ce qui évite de répondre à la critique)...Je regarde...Ah pardon, c’est à moi de faire le pitch (tm), vendre le truc ? Désolé la maison n’a pas cet article :)). Si tu veux de la raison sociale, consulte tes PME citoyennes préférées. A quoi servez-vous ? Enfin, pour te répondre en bref, être utile c’est être le moyen de, pas une fin. Donc, nous ne servons en prioriété à rien ni personne. Je détaille si tu veux :)
> Le retour du mutant de l’espace
11 février 2003, par Uzine Nouvelle
Je ne suis pas d’accord avec vous. Je ne vois pas le mal qu’il y a à médiatiser son action, à partir du moment où elle va dans le bon sens. Vous avez le droit de refuser la médiatisation, mais reprocher aux autres d’agir plus visiblement que vous relève d’une autre logique, surtout quand il s’agit d’organisations comme le Gisti ou Act-Up.
un peu de pub dans un monde de militant
12 février 2003, par Lirresponsable
Je ne vois pas le mal qu’il y a à médiatiser son action, à partir du moment où elle va dans le bon sens. Ah certes, si ça va dans le bon sens, y’a pas de mal...Plus sérieusement, la question même de la médiatisation, entendue ici comme recours aux médias à annonceurs afin de diffuser un message pose toute une série de problèmes classiques (par exemple : déformation, alibi-rente, récupération, réduction spectaculaire, etc.). Vous avez le droit de refuser la médiatisation Je ne refuse pas du tout la médiatisation, c-a-d le fait d’être un média autonome (source émission, élaboration, diffusion du message), surtout à partir du moment où grâce à des outils comme les sites web, les mailing lists, les coûts de diffusion et d’organisation sont réduits. Par contre, l’événement commandité par la logique médiatique classique, dont la remise de prix fait partie, me semble inadéquat, voire contre-productif. Les médailles font plaisir à la troupe, et le commandant d’unité est content d’accrocher des distinctions à l’étendard du régiment. Mais que l’activité militante s’organise de manière militaire est une question à débattre. reprocher aux autres d’agir plus visiblement que vous relève d’une autre logique, surtout quand il s’agit d’organisations comme le Gisti ou Act-Up. Mais en quoi justement est-ce plus visible ? Si je désire m’informer sur les analyses et combats menés par Act-up, je vais sur leur site lire par exemple l’article Non à la criminalisation des séropositifs, sans avoir besoin des 5 secondes d’images du JT de TF1 où des militants recouvrent l’obélisque d’une capote ou des 10 lignes de tel canard qui consacre un entrefilet à la chose. Ce qu’apportent les médias à annonceurs : une notoriété (un taux de reconnaissance du produit pour le dire autrement, d’autant que beaucoup de couvertures des magazines se calquent sur la télé) et une "légitimité" médiatique, i.e. la figure de porte parole "officiel" de telle cause, ou le bon-client (tm), ce qui va conditionner la représentation du public pensé par les annonceurs, ainsi la malbouffe = José Bové, (avant c’était Jean-Pierre Coffe), et créer une place de médiateur à celui qui médiatise, personnifie tel combat ; de telle sorte que le traitement médiatique d’un sujet = inviter/médiatiser le médiateur qui sera d’ailleurs invité pour parler d’autre chose si possible ("il ne va pas nous faire chier avec ses OGM sans arrêt...machin est-ce que vous aimez les chats ? Oui c’est cool, vous êtes vachement open-minded"), du moins dans des conditions de production qu’il ne contrôle absolument pas (télé, mais aussi journaux). D’où les petits guides pour militants : comment parler à l’antenne ou braquer une émission... Il est bien évident qu’une telle médiatisation opère toute une série de distorsions entre le message et sa réception, et joue aussi non seulement sur la légitimité du personnage (vis à vis de ses militants, les partisans de la cause) mais aussi sur le message et la fameuse Cause (tm). L’exemple d’Actup est intéressant avec "l’incident" du sidaction 96 où un responsable s’illustra par un "c’est quoi ce pays de merde", qui dénote la tension entre les impératifs médiatiques (être consensuel pour ratisser large, le public et les sous) et militants (activisme gay, réalité de la maladie, radicalité, rôle de l’identité qui amène à militer). Quant au Gisti, ce n’est certes pas un fanzine, d’ailleurs Evitez le photocopillage, puisqu’à l’issue de chaque session, 838 € pour les sessions de 5 jours et 335 € pour les sessions de 2 jours, les stagiaires se voient offrir un des guides du Gisti... On peut se dire qu’Emmanuelle Béart c’est bon pour l’image et la Cause (tm). Tellement bon d’ailleurs qu’une majorité de Français a voté, lors des dernières élections présidentielles pour des candidats très progressistes, notamment en matière de droit des étrangers, comme quoi la pédagogie et l’activisme paient... Reste le problème du lobbying (pressions sur les pouvoirs) et l’infléchissement d’une législation (comment on déplace la norme en produisant un discours de légitimation). Pour être bref, je crois que l’activisme classique a vécu, et qu’il tourne désormais sur une logique shadock. Ce qui ne retire aucune validité aux combats à mener mais pose de sérieux problèmes d’organisation (modalité et finalité) dont le blanc seing accordé aux méthodes en vertu de la prétendue sainteté de la Cause est le pire symptôme ; (il est très ancien). Comme disait l’autre : la démocratie c’est pas un chèque en blanc. |
Naïveté ?
26 janvier 2003, par Emile Lefebvre
Je ne vois pas ou est le problème. Les BBA sont une opération de sensibilisation du public sur la question de l’informatique et des libertés. Le choix des "gagnants" n’a aucune importance. C’est comme si vous reprochiez à la cérémonie des Césars d’être organisée par l’industrie du cinéma.
> Naïveté ?
26 janvier 2003
C’est bien envoyer, ces gars comprennent pas que l’action a un but, ils voient pas plus loin que leur nez, et on voit bien que ca sensibilise le public puisque on en parle dans samizdat et nice.indymedia.
> Naïveté ?
26 janvier 2003, par Roger
ouais bien dit, c’est comme si on reprochait à Madame de Fontenay d’organiser les Miss France. Elle fait beaucoup pour les régions, la décentralisation, l’outre-mer, et la condition féminine. En plus c’est vraiment démocratique car le public a le droit de voter.
> Naïveté ?
27 janvier 2003
Oui, démocratique comme la Starac et autres tf1neries. PS : je propose que Carle fasse un film sur les dessous de l’attribution de son prix (appel téléphonique aux membres du jury pour dévoiler les pressions, démonstration que la contestation génère sa propre engeance -Bourdieuserie quand tu nous tiens - etc.)
> Naïveté ?
30 janvier 2003, par Tiresias
Si, ça fait apparaître des espèces de volatiles inconnues, comme le Gisti Couronné. Quant à sensibiliser le public, l’événement parisien de microcosme où s’échangent de menus services, entre manif à trois pelés et petits fours à la santé des pauvres, c’est le coup gagnant, assurément... :) |
> Prix Debord de la marchandise spectaculaire intégrée
25 janvier 2003, par Rascal
C’est grand... il y a des flics partout dans les rues, Kro$oft lance palladium... et Uzine fustige les BBA. Bravo les mecs, c’est ce qu’on appel avoir le sens des combats impérativement qu’il faut mener. Bonsoir chez vous !!!
avec le titre de la brève, le sens du combat tu trouveras :)
25 janvier 2003, par Lirresponsable
Uzine fustige les BBA Bah non, on relève comme tout le monde le ridicule de la chose ; bon ok, on en fait une brève de six lignes, ce qui est peut-être un peu grand en effet :)). Quand une organisation se propose de décerner un prix à « Pierre Carles, documentariste dénonçant la cuisine des médias, censures et manipulations et tout "discours dominant" », on suppose que la dite cuisine a été un peu analysée...Allons y donc. Déjà pour les Orwell, Sarkozy j’en suis sûr a très honte d’avoir été nominé et va retirer les flics des rues, idem pour Krosoft et son palladium...Bon, on est d’accord je suppose à propos des BBA, il s’agit de spectacle (une mise en scène) et de détournement (on pastiche la nature d’une remise de prix en inversant le laudatif et le péjoratif, un peu comme le « prix citron » de la presse...). Le but est de sensibiliser l’opinion (tm) comme disent les décideurs, de manière festive et didactique. On vise donc la communication, par une perturbation du discours + adoption des codes formels qui doivent être le moyen de changer la situation. Afin de fonctionner, c’est-à-dire à atteindre son objectif, le mécanisme est soumis à la contrainte suivante : pour disposer d’un relais dans les médias (de masse, à annonceurs, du sérieux quoi !) identifié à pour toucher un large public, il faut créer un événement (la remise des prix qui devient elle-même un spectacle), qui va pouvoir servir de sujets pour des papiers dans la presse, écrite surtout, car on voir mal Claire Chazal annoncer « sachez encore que Jack LANG & Xavier DARCOS ont eu un Orwell ». Parce qu’un site web ne suffit pas et que le message ne sera pas déformé par la nature du médium ? Je ne le crois pas. Comme pour tous les prix, récompenses, colifichets, (surtout en France), ce sont des réseaux qui fonctionnent avec les multicasquettes (jury, lauréat, nominé, rapporteur, copain du voisin de palier de la belle-soeur du cousin par alliance qui a vu l’homme qui a vu l’ours). Procédure qui entâche la démarche et explique en partie le confinement. Le média dominé est dans ce cas simplement le média dominant avec moins de pouvoir, il garde la même structure (et souvent le même personnel). Un nouveau degré est franchi avec la revendication bien légitime de reconnaissance (pour services rendus, qualité de la casquette, etc.) qui non seulement entre en contradiction avec le but premier : parodier une remise de prix (bon ok, les Voltaire sont en chocolat, mais les gens sont contents quand même), puis tourne à l’autoproclamation satisfaite (ce qui est le prolongement normal du multicasquettes). Entre nous cher Rascal : « Prix spécial Ensemble de son oeuvre », tu ne trouves pas ça grotesque pour du laudatif militant ? Alors oui, il est impératif pour mener un combat (ou un Kombat) de poser les questions élémentaires : comment, où, avec qui, pourquoi, c’est-à-dire que la stratégie ne se résume pas à l’identification des cibles. Par exemple se demander ce qu’un citoyen lambda, (pas nous à uZine hein, parce qu’on est méchant), se dit quand il voit le tableau ? Et surtout quel est l’impact (organisation, validité) sur la diffusion des thématiques mises en avant ? Ainsi le problème de la réduction spectaculaire. Les vilains Orwell n’auront-ils pas beau jeu de dire, au cas improbable où ils en viendraient à le commenter : "ouais ce sont des jeunes sympathiques qui déconnent, vous savez ce n’est pas très sérieux, il s’agit de folklore" ? C’est pourquoi ton argument : l’urgence de la situation commande une concentration de l’effort sur les méchants habituels (flics, Kro$oft...,le Pape aussi non ?) ne vaut pas un clou, désolé. Il a déjà beaucoup servi, comme le discours « vilain fichage », qui tourne depuis un certain nombre de décades avec les résultats qu’on connaît ; faut peut-être se demander collectivement pourquoi non ? Et si la militance traditionnelle était aussi un peu en cause ? Ah bein non alors, il faut impérativement ne pas en parler, et répéter le même discours. La preuve Shadok qu’il faut : ça marche toujours pas. Bonsoir chez vous ! ! ! Vote Jospin en 2007, il a promis qu’il amendera la LSQ et la création d’une taxe citoyenne à 5 % pour que la CNIL ait les moyens de ses objectifs ! :))
L’oeil et la poutre
25 janvier 2003, par Pseudo
Excellente réponse, kamarade, qui éclaire le sens de la brève. Cette habitude, qui fait de l’autocongratulation un mal à dénoncer chez les ennemis (de la liberté, du peuple) et une pratique normale chez les amis (parce que minoritaires et au vu de l’urgence du combat) est très ancrée chez tous nos... amis. En gros, l’idée est la suivante : les réseaux de gentils, c’est bien, les réseaux de méchants, c’est mal. Certes. Mais doit-on pour autant s’interdire de réfléchir, justement, sur le réseau ? Cette question est en plein dans la ligne, si tant est qu’il y en ait une, de ce site. Connexe, la question des médias. Elle mérite de plus longs développements. Mais elle pose les mêmes questions : un militant peut-il à la fois décrypter la pensée dominante des médias dominants et jouer le jeu de ces mêmes médias ? Certains essaient, mais il est bien difficile de tenir les deux bouts : citez-m’en un qui ait réussi ! Bourdieu, Carles, Halimi, ont renoncé, après avoir essayé, à jouer le jeu. Nombre de militants d’Attac, au contraire, aimeraient à l’instar de Bové continuer de jouer le jeu, et semblent pour cela s’interdire de critiquer voire de décrypter les médias. Il y a là un vrai dilemme, et il est important, pour mener le combat, de garder un regard critique sur les méthodes qu’on emploie. (Y compris par l’ironie.)
> L’oeil et la poutre
8 février 2003, par Clément
Pour ceux que cela intéresserait, Attac a aussi son avis sur la question des médias : je vous engage à lire le "Grain de sable" no 399 (07 février 2003) consacré à l’influence dominante des diverses médias. Et on ne pourra pas dire qu’Attac surfe tranquillement sur la vague médiatique. ps : je ne suis pas militant pour Attac, je voudrais juste que les gens cessent parfois de se brider le cerveau en ne considérant que les sources d’information qui les arrange (je lis autant le Fig que le Monde, avec toute ma conscience critique, sinon je ne m’en sortirais pas) |
> Prix Debord de la marchandise spectaculaire intégrée
24 janvier 2003, par Uzine nouvelle
C’est vrai que vu ce que vous foutez, vous ne risquez pas grand chose niveau prix...
Messieurs les vilains, vous n’êtes pas gentils !
24 janvier 2003, par Lirresponsable
...si, si, le prix T.A.Z (totalement autogéré par des zonards) ! Mais promis, on va : prendre des photos ultra-subversives de CD cassés où il y a écrit au marqueur « Fichiers = Flics » en compagnie (sous réserve) de Isabelle Falque-Pierrotin, lancer la campagne « Contre tout monopole historique, achetez un pack ADSL Free » et on boira sans doute une mousse en pensant à toi. a+ |
> Prix Debord de la marchandise spectaculaire intégrée
23 janvier 2003, par Tiresias
Oui mais, regarde, les gagnants sont fiers, ils le disent tel que. Même, ils donnent une image du diplôme reçu suite à leur déclaration de satisfaction. Quand tu te casses le cul, ça fait plaisir que ce soit dit. Que ce soit un jury amicalement composé, et un diplôme pour rire, pas d’importance. Et ça marche toujours, tiens essaie de fonder un Prix, tu verras.
Espèce d’aigri (tm) va ! :)))
24 janvier 2003, par Lirresponsable
Ah non merci ! J’ai participé jadis, lorsque j’étais jeune et insouciant, à un jurydou [un petit jury (NDR)] pour un obscur prix littéraire à la con (un truc pauvre hein, presque europe de l’est, le gagnant avait le droit à trois pléiades en bon d’achat ; en revanche le jury avait, de manière raisonnable, bar ouvert dans le troquet qui servait aux délibérations). Et bien tu le croiras ou pas : le premier prix fut attribué à la fille du président du jury. Je l’ai appris d’un autre juré en sortant du bar, car je n’avais pas été très attentif aux débats, ni marqué par la prose de la jeune fille à vrai dire. Ce fut la fin de mon expérience de juré.
> Espèce d’aigri (tm) va ! :)))
8 février 2003, par Clément
C’est dommage de croire que les conneries des uns sont répétées à l’envi chez les autres... Un peu d’optimisme ne ferait pas de mal (et puis être cynique aussi, sinon on se tire une balle)
Range moi ce revolver tu vas blesser quelqu’un !
12 février 2003, par Lirresponsable
Je n’allais pas si loin ami, je livrais juste mon témoignage pour répondre à la provocation de ce garnement de Tirésias. On peut aussi se dire qu’il n’est pas nécessaire de réaliser 20 fois la même expérience... |