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> Musique libre ?
18 avril 2007,
message de djjeffouille
La Musique Libre c’est l’avenir pour faire bouger les lignes A l’AIMSA on a bien avancé sur le sujet Jeff en ligne : http://www.aimsalibre.com
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Au bout du fil - La musique libre
21 juin 2006
Ecoutez, telechargez, decouvrez, soutenez le meilleur de la musique libre et independante tous styles confondus ! en ligne : http://www.auboutdufil.com
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> Au bout du fil - La musique libre,
micheldissy,
24 juin 2007
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> Musique libre ?
18 décembre 2004,
message de MORSURE PROD
LABEL MORSURE PROD 100% INDEPENDANT, SUPER ARTICLE, ENCOURAGEANT...MAIS UNE SEULE CHOSE ON NE L’ATTEND PAS LE PRODUCTEUR EN COSTARD ON LE DEVANCE.AKISSA en ligne : MUSIQUE LIBRE
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> Musique libre ?,
4 janvier 2005
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> Musique libre ?,
cartoon,
5 janvier 2005
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>annuaire autogéré de la musique libre et gratuite
16 septembre 2004,
message de Tatatatata
Complétez l’annuaire : musique gratuite et/ou libre en ligne : http://rezal404.org/wikini/wakka.ph...
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> Musique libre ?
9 juillet 2004,
message de totof
je compose depuis un moment de la musique electro dans mon grenier avec mon matos j en avais marre de les écouter en boucle , alors j ai creer un site de diffusion gratuite de mes compositions. en ligne : musique electronique gratuite
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> licence libre
27 mars 2002
Concrètement comment mettre sa musique sous licence libre de manière à ce que la référence au créateur soit explicite et protégée. C’est à mon avis la seule garantie qu’il est difficile de supprimer, car je pense que pour un créateur il peut être difficile de voir sa création appropriée par quelqu’un d’autre ( dans le sens où sa création sera considérée comme la création d’une autre personne). Si quelqu’un peut me répondre, merci |
> Musique libre ?
31 mai 2001,
message de Olivier L
Je n’ai pas bien compris comment les musiciens peuvent être rémunérés avec une licence musicale de type Copyleft. Si leur musique devient gratuite, qui va les payer ? Pour ce qui est du problème de la production musicale indépendante, un copyright ne suffit-il pas, à partir du moment où se serait créé sur l’internet un média permettant au public de découvrir facilement les artistes et surtout d’acheter leur musique ?
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réponse à olivier, par e-m pillequant,
ether-michel pillequant,
1er juin 2001
voici, _-/ 1 première réponse vous mettez en effet l’accent sur un des noeuds du sujet ; ce que je puis répondre quant à moi, c’est 1/ il s’agit en effet de susciter de nouveaux rapports de marché, ou de consommation, basés sur confiance, reconnaissance et courtoisie (sans aller jusqu’à se réclamer de george steiner pour ce dernier terme, mais il y a de ça - cf. son livre "réelles présences", éd. gallimard, 1990 environ, coll. essais, fondamental, mais il parle surtout de culture, littérature, philosophie, livre et non web) ; 2/ les règles, je pense, qui sont esquissées ou définies dans la GNU-GPL, et à venir dans la FMPL (free-music), tendent justement à permettre la réalisation de telle entreprise ( à ce que je sache, richard stallman le premier, n’est pas aussi riche que gates ou case, mais s’en fout, et surtout ne crève pas de faim quand même, gagne sa vie tout en défendant ces idées, et bcp de programmeurs, ou autres, pareil ). 3/ le tout est de bien penser la chose, et établir des projets et cadres juridiques etc aussi précis et concrets que possible ; à cet égard et juste à titre de contre exemple, le projet dit "licence art libre" qui mélange toutes formes d’art et de création, me semble entaché de graves défauts, et ne refléter que la confusion intellectuelle de tout ou partie de ses "promoteurs", soft, c’est une chose, musique une autre, etc.. et chaque domaine doit élaborer et vérifier l’élaboration de ses règles propres 4/ un point précis pour finir, diffuser son travail sous copyleft n’est pas forcément s’exposer au vol de son travail, je crois que stallman lui-même dit qu’on peut fort bien déposer son travail ss copyright, et le diffuser soi-même ss copyleft ensuite ; ce qui protège le travail original et laisse sauve toute possibilité de collaboration, ajout, remix, etc... chacun précisant ce qui lui revient, et ce qui revient à d’autres programmeurs, musiciens, etc... je m’arrête là car je ne suis pas très calé ds le domaine, mais vous envoie à wagdi, eric aouanes, l’auteur de l’article, et mon collègue et complice ds divers projets, dont surtout vnatrc-bortch.org ; quant à la musique libre, c’est surtout à lui qu’il faut s’adresser. _-/ 2 je vous rajoute ceci : dans "free software", "free music", free, (mot anglais polysémique : libre, et gratuit) n’est pas utilisé forcément ds les deux sens à la fois et sans distinction ; diffuser sous copyleft : copie libre, ne tend pas tant à priver les créateurs de toute rémunération qu’à créer de nouvelles conditions d’échange et de commerce également, dans lesquelles précisément les créateurs maîtriseront mieux le devenir de leur production, et ne seront pas obligés de se contenter des 5, 6%, allez, 10% parfois pour les chanceux, que leur octroient royalement les maîtres actuels de la distribution, et il faut dire merci pendant toute sa vie pour qq cacahuètes reçues... la chose n’est pas facile à réaliser (aux deux sens du terme cette fois), elle reste à créer, c’est à cela que nous travaillons, et qu’il faudra être nombreux à travailler, cet article est une prise de position et un appel à collaboration, non un cri aigre dans le vide. un dernier point : il s’agit profondément, par ces nouveaux rapports et moyens de diffusion, échange, d’opérer un renversement profond non seulement du "commerce" de la musique, mais des modes également de production, diffusion et réception de la musique : cordialement, _-/ 3 une note * (ceci par ailleurs est encore plus criant en art contemporain : qq-uns, commissaires, conservateurs, critiques, etc. tiennent tous les leviers d’un art "de masse", mais sans masse : où sont les regardeurs ? en ligne : v.ous n.’a.vez t.oujours r.ien c.ompris ?
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Muziq, Kezaco ?,
PRIVATE JOKER,
2 juin 2001
Hello everybody, Bon, le concept tel qu’il est présenté dans l’article je suis pour... avec des réserves. Celles-ci tiennent au fait que la Musique n’est pas l’Informatique ! Je m’explique : Un logiciel, même libre, une fois qu’il est compilé (d’ailleurs, même dans le domaine de l’interprété), il est stable : c’est à dire que pour tel code source donné on va obtenir, sur telle machine où le logiciel aura été porté, tel exécutable et donc telles fonctionnalités données (c’est toujours du 0 ou du 1, ou alors on est dans l’objet,la logique floue, l’intelligence artificielle, ou que sais-je encore ??? ... ce qui n’est pas la majorité des cas "open source"). La musique, c’est différent : quelle belle tautologie ! Car on peut avoir comme but la composition écrite ou orale, l’interprétation, l’improvisation, l’orchestration, etc... et enfin la fixation, sur support. Donc de quoi parle-t’on dans cette licence de "open music" : est-ce de la composition (tout support matériel peut la permettre, tout du moins dans notre tradition occidentale), est-ce de l’orchestration et/ou du fameux "arrangement" (qui est ce que le talent du cordon bleu peut être à la recette archi-connue du steak-frite), est-ce de la simple "fixation" d’un morceau joué,... ou bien est-ce de tout cela à la fois et même un peu plus ? Personnellement, je suis informaticien, grand amateur de musique, plutôt branché "The Net", et je commence une activité de producteur de disques... donc évidemment je m’intéresse à ce genre de projet. Mais, mais, mais... De quoi parle t’on, que veut on faire, et comment ? Pour ceux qui ne me suivraient pas (je suis des fois un peu crypto-incompréhensible..), j’aurais tendance à rappeller que le développement du Disque a permis de développer un genre de musique que l’on appelle "Concrète" (puis ensuite les samplers et tout ce qui suit de nos jours) tandis qu’avant que la Fixation(TM) ne fonctionne, les musiques de films étaient jouées "live" en même temps que la bobine se déroulait (ce qui voulait dire "pas du tout la même ambiance" suivant la salle, la ville, le pays...). Donc, en gros, quels sont les buts du projet FMPL ? Car, je suis désolé de le dire et de me montrer par là même réactionnaire, si c’est pour monter un projet de musique "electronica" avec des morceaux genre originels et ensuite une fricassée de remix (ce qui revient à privilégier les effets et/ou les samples rajoutés/enlevés) je ne vois pas bien l’intérêt... On oublierai dans ce cas toute une partie de la magie de la Musique (avec un grand M) qui est : à un moment donné, un (ou des) musiciens(s) donné(s) joue(nt) une morceau donné devant un public donné. Cela peut paraître idiot mais cela veut dire du temps partagé (et le Temps est une composante inaltérable de cet art qu’est la musique) et un rendu personnel des interprètes selon leur humeur, leur science, leur talent... et un ressenti du public selon le moment, le lieu, etc... Donc, une seule question : QUID de la Musique ? Olleh tout le people.
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première réponse à quelques objections légitimes....,
Wagdi, Eric Aouanes (Rico da Halvarez) ,
3 juin 2001
bonjour, je tiens à apporter quelques précisions sur mon article, puisque le concept de la FMPL ne semble pas être clair pour tout le monde. 1ère objection : "la musique n’est pas de l’informatique." je le concède sans peine, mais son mode de diffusion est similaire (cd, fichiers téléchargeables) ; la FMPL, redevable en cela à la GNU GPL postule que la copie vaut l’original, ce qui n’est pas le cas des rejetons du copyright (restriction de la copie et de la diffusion). pour ce qui est du champ d’action de la FMPL, il comprend tous les secteurs de la création musicale : composition, arrangements, enregistrement&organisation de concerts ou d’œuvres fixées sur support, etc...(la musique avec un grand M à aussi sa place dans le projet FMPL !) En résumé, la FMPL cherche à rapprocher : les musiciens du public en suprimant bien des intermédiaires aussi coûteux que gourmands ;
à suivre- en ligne : le site dédié à la musique libre
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> réponse à olivier, par e-m pillequant,
Antoine Moreau,
7 juin 2001
Hello ! amha, la création est une et même chose quand il s’agit d’art (et même dans ce qui excède sa propre définition "art", voir Dada, iconoclasmes contemporains, etc). Elle se présente sous différentes facettes et matériaux, mais la question de la création en art est une chose singulière. Ce n’est pas affaire de particularités suivant le genre envisagé. Surtout à notre époque indisciplinée et multimédiatique. en ligne : copyleft attitude
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réponse à M. Moreau,
Wagdi, Eric AOUANES (Rico da Halvarez),
8 juin 2001
je persiste à penser que la division est une preuve eminente de sagacité et ne conteste pas l’interêt de la démarche globalisante que vous proposez, mais de là à vouloir tout rassembler sous le même drapeau, on s’embarque dans une autre forme de totalitarisme.
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> réponse à Wagdi, Eric AOUANES (Rico da Halvarez),
Antoine Moreau,
10 juin 2001
You wrote :
Merci de vos compliments, je pense sincèrement que nous allons les uns et les autres dans le même sens : le libre dans la création artistique. Je ne vois pas l’utilité de querelles quand on partage la même vision. La Licence Art Libre n’a surement pas comme but d’être hégémonique, mais elle a l’intention de bien faire les choses. C’est la raison pour laquelle nous l’avons écrite avec l’aide Mélanie Clément-Fontaine et David Géraud, les 2 premiers juristes à s’être intéressés en France à la GPL et au Libre. A bientôt (nous ferons un jour peut-être des échanges d’oeuvres croisées et recroisées dans nos licences respectives !) en ligne : Copyleft Attitude
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bien entendu, nous partageons les mêmes points de vue, mais...,
Wagdi, Eric Aouanes (Rico da Halvarez),
11 juin 2001
Il me semble necessaire une nouvelle fois - et puisque votre réponse semble l’esquisser - de clarifier une dimension essentielle de notre propos : la diversité. Peut-être ai-je quelque peu exagéré en qualifiant la licence "art libre" de "globalisante", voire d’"hégémonique", il est clair que nous poursuivons un but similaire et que nous partageons la même philosophie, mais le débat, pour nous autres zélateurs de l’échange, et de la fraternité est essentiel, et nos divergeances, pour peu qu’elles soient catégoriques n’entâcheront pas notre visée, notre dessein : un monde meilleur avec les moyens du bord, un monde meilleur avec un esprit aussi pragmatique qu’idéaliste...un monde meilleur avec les pieds sur terre. en ligne : les travaux en cours outre-atlantique
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> bien entendu, nous partageons les mêmes points de vue, mais...,
Antoine Moreau,
11 juin 2001
You wrote :
Alors là : non. Il n’y a aucun progrès qui tienne en art, même si celui-ci est comme on peut le dire " a work in progress". Il n’y a pas de monde meilleur qui vaille la peine qu’on se batte pour, il n’y a que le lieu impensable de la poèsie et de ce que la création artistique montre quelques fois dans l’inter-dit. L’entre les lignes, foin des discours libérateurs ! Ce sont ceux là même qui allument les buchers où brûlent les êtres libres. Non non, l’ambition est d’être juste, comme une note peut l’être dans un chorus free d’Albert Ayler. Sans concession pour la guimauve progressiste des discours qui promettent les symphonies lisses du bonheur perpétuel. en ligne : Copyleft Attitude
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la réponse du girafo (1),
Obiwan Ben Giraf,
11 juin 2001
Il y a lieu de répondre à cette interpolation nationale-socialiste de mon propos, je pense...et calmement, d’ailleurs. — -fin de la première époque---
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partager...,
rico da halvarez,
12 juin 2001
—début de la deuxième époque— — fin de la deuxième époque—
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eheu !, eheu ! ( c] lycophron), ou : cher antoine !,
je suis bituur estreym,
13 juin 2001
cher & délicieux naïf confusément argumenté ; quel galimatias nous pondîtes-vous là ! monde meilleur ... ô mânes d’aristophane !!! - il vous eût suffit d’un peu de grec élémentaire pour déduire de la réponse que rico da halfarez vous octroya, heureux mortel que vous êtes !, que notre propos n’est nullement celui de l’utopie, mais de l’eutopie : "eu"-topie : le bon lieu... ici je m’arrête, soudain saisi d’un doute térébrant : me lûtes-vous (c’est moi, bituur esztreym, philologue finno-magyar, aka ether-michel pillequant, aède exégète de v.n.a.t.r.c.?, qui publiai l’article cause de tout cet urticaire vôtre) : ... j’en doute : auriez-vous cuisant besoin, sinon, que je vous recitasse George Steiner - et dieu sait que le prurit altruiste m’en dévore la face... - pour en venir au fait, cher antoine, nul monde meilleur, certes, partant nul cris d’orfraie-vieille-fille croyant énoncer quelque nouveau risque (?) fasciste en bégayant ses fantasmes,
bien plutôt, il s’agit de prendre acte, observer, réfléchir, décider, oeuvrer,... non ? nous travaillons, nous, posément, nous pensons, aussi, et tâchons moyen d’argumenter, dans le respect, la joie, l’échange, et rencontrons nos pairs. mais je me fatigue, vos arguments m’échappent, me fuient, - on les dirait, pardonnez-moi, pris de sanie - je m’en vais relire Roger Laporte et Pierre Eyt, et vous reviendrai : vous acquiescerez. bien à fouss, bituur esztreym, philologue expert de v.n.a.t.r.c.? en ligne : free, liberté, libre : révision.
echo bouton_block_invisible("message4567");
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réponse à M. Moreau,
Wagdi, Eric AOUANES (Rico da Halvarez),
8 juin 2001
je persiste à penser que la division est une preuve eminente de sagacité et ne conteste pas l’interêt de la démarche globalisante que vous proposez, mais de là à vouloir tout rassembler sous le même drapeau, on s’embarque dans une autre forme de totalitarisme. |