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> Gratuité de l’inutile
27 novembre 2006,
message de coratogia
j’aime ce titre ’gratuité de l’inutile’ il rapelle ’la Faculté de l’Inutile" de Youri Dombrowski ... remarquable et non dérisoire comme ce qui se rapporte a notre vision (bien mal corrigée encore par les lunettes de l’histoire) mais ma gratuité à moi, je la paye par des heures et des heures de mon temps mes musiciens sont morts depuis 150 a 300 ans (monteverdi, schubert..) qui reste a payer ?? avec 2 ou 3000 CD’s et Vinyls, je n’ai pas a courir les shops ni chopper des tunes on line mon temps est ma monnaie pour mon plaisir et ma quete. si je veux partager cela et etudier plus et partager (en R/W) ma base Sql et m’enrichir grace aux autres zoreilles qui ont aussi passé des heures des milliers à pénétrer le monde des Mozart waves.. je vise juste cela mettre des ziques en icones sur un arbre qui dans Mozart semble proche de Rameau ?? de Scarlati ?? d’ou vient cet air ?? chanson ancienne ? ou va cet air ?? (par exemple la lambada a copié un bout de Dvorjak) c’est tout à leur honneur, et j’aime que le flot de ces airs se perpetue et traverse sans mal les re-habillages c’est pas de la culture , non du simple plaisir. donc - alire l’article de to ami .. le Libre n’est pas capable de faire du flash, sans Adobe. voila qui me scie, ca fait 2 ans que j’avais laissé reposer mon projet (parti maconner en Corse) rien sauf la main mise de flash !! est ce le dernier mot ?? y a t il une voie (libre) merci a tous. j’ai vu SPIP est ce bien necessaire de se mettre sous un carcan ?? bref ou est la piste ?? apparement la musique ne me parait pas gratuite mais seulement en Read Only les radioblogclub sont des soldats d’Adobe des idées ?? merci |
> Gratuité de l’inutile
24 juin 2006,
message de :D
Laissez Britney S gagner ses milions, elle les a mérité : elle a montrer son cul dans ses clips et accessoirement elle a "chanté". |
> Gratuité de l’inutile
16 août 2004,
message de W.WALLACE
Il me semble que la demande de gratuité de la musique vient de qq chose de beaucoup plus simple !! |
> Gratuité de l’inutile
15 mai 2004,
message de FLAMBY
de toute maniere les producteurs se trouvent dans une impasse puisqu’au fur et a mesure qu’internet se répend de moins en moin de gens auront besoin d’acheter de cd puisqu’ils pourront télécharger les musiques, puis les installer sur leurs lecteurs mp3(ou autres) portables. |
> Gratuité de l’inutile
27 avril 2004
la musique est faite pour être entendue et donc diffusée. Si les milliers d’artistes auteurs compositeurs interprètes ne se font pas entendre, alors ils vont rester dans l’anonymat le plus total. |
> Gratuité de l’inutile |
> Gratuité de l’inutile
20 août 2001,
message de pouf
moi je dis bien fait !
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Inutilité du gratuit ?,
PRIVATE JOKER,
20 août 2001
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P’têt ben qu’oui, p’têt ben qu’non
10 août 2001,
message de Pierre Thierry
Je suis en désaccord avec toi sur un seul point. Pour le reste, comme le dirais Jésus-Christ, cela est juste et drôle. Mais là où tu as faux, c’est au niveau de la faisabilité de la musique gratuite. Aujourd’hui on peut citer pour exemple la communauté du logiciel libre, qui a répondu à la terrible question "comment gagnent leur croûte les programmeurs du libre ?" [1] Et la réponse est : "pas avec leurs produits, qu’ils distribuent altruistement au monde entier, mais avec la prestation de service !" ModèleHé oui, aujourd’hui des entreprises florissantes naviguent dans le libre, mais généralement elle ne vendent pas de produit (où alors elle le font sur commande précise), mais distribuent le produit librement et font payer toute une gamme de services associés. Exemple, RedHat, s’il distribue librement sa distribution, y compris la toute dernière (que je me suis procurée dans un magazine), propose des packages payants, mais alors on a en plus une doc papier et surtout un service d’aide par téléphone ou par le Web. ApplicationPour la musique, de toute façon, les musiciens, pour ce que j’en sais, ne se font pas vraiment d’argent sur les disques, puisque les majors se sucrent dessus, par contre ils se paient avec les concerts. Donc le principe est le suivant : je fais de la musique et vous la distribue gratuitement, par contre si vous voulez la prestation de service "je joue devant vos yeux ébahis" aussi appelée concert (tm), vous raquez... Et ça devrait marcher, puisque si je peux gratuitement écouter, je risque plus facilement d’adorer, donc d’avoir envie d’aller au concert. Finis les majors, et les musicos deviendront riches. Pour ce qui est de la distribution de la musique, à l’instar des logiciels, elle pourra se faire soit par le Net, soit de main en main, soit les musicos feront appel à une société qui mettra en presse des CD "pro", comme aujourd’hui les distributions Linux... FinVoilà, j’espère avoir fait preuve de génie, et que dans 5 ou 10 ans on me désignera du doigt en disant : "celui-là a révolutionné l’industrie musicale...". Pierre
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Evidemment, dans ce cas !,
PRIVATE JOKER,
10 août 2001
Hello Pierre, Et bravo ! Très bon début de réflexion et pourtant si simple... Evidemment, les coûts de production d’un logiciel et d’un album ne sont pas vraiment les mêmes, mais l’idée reste à creuser : même si on doit payer quand même pour un CD de musique (après avoir été par exemple attiré par l’achat de celui-ci en téléchargeant des extraits en MP3), le prix devrait effectivement être bien moindre. Bon, y’aura peut-être un problème de promotion car tout le monde n’est pas obligatoirement au fait de ce genre de pratique, tout du moins au début... Et il faudra éventuellement des media fédérateurs (le net bien sûr, mais pas que...) mais tout cela doit pouvoir s’arranger : pour beaucoup de scènes musicales à tendance "underground", des fanzines papiers existent (à qui il arrive d’ailleurs déjà de distribuer des compiles, voir "Abus Dangereux" pour le rock français). Un des autres problèmes auxquels il faudra faire attention, c’est l’emprise de la SACEM et de ses collègues/clones (SDRM par laquelle il faudra surement passer pour mettre en presse des CD "pro", SPEDIDAM, ADAMI, etc...), y compris internationales : ces zolies "sociétés civiles" risquent de ne pas apprécier qu’un nombre croissant de compositeurs/interprètes leur échappe, et attention si des oeuvres faisant partie de leurs répertoires sont utilisées... Enfin, dernière chose importante, pour ce qui est des concerts : il faudra faire attention que le pouvoir détenu par les éditeurs-producteurs-distributeurs ne changent pas de mains pour atterrir dans celles des salles de concerts, producteurs de spectacles, et autres tourneurs. Tant il est vrai que la puissance de l’argent a tendance à nous échapper, surtout quand on y fait pas attention ! Enfin, y’en a au moins un qui fait ça, il s’appelle Jean-Louis Costes : on peut ne pas aimer et trouver que c’est naze musicalement ou même dangereux au niveau des thèmes abordés. Il n’empêche que sa démarche "marketing" fonctionne plutôt bien... A’r’voir. en ligne : Le site de Costes
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> P’têt ben qu’oui, p’têt ben qu’non,
ptit troll,
28 septembre 2001
belle demonstration "Pour la musique, de toute façon, les musiciens, pour ce que j’en sais, ne se font pas vraiment d’argent sur les disques, puisque les majors se sucrent dessus, par contre ils se paient avec les concerts. Donc le principe est le suivant : je fais de la musique et vous la distribue gratuitement, par contre si vous voulez la prestation de service "je joue devant vos yeux ébahis" aussi appelée concert (tm), vous raquez... Et ça devrait marcher, puisque si je peux gratuitement écouter, je risque plus facilement d’adorer, donc d’avoir envie d’aller au concert. Finis les majors, et les musicos deviendront riches." ben contrairement un concert ca ne rapporte pas grand chose . Certes les musiciens (appelons les "les executants") comme tous les employés chargés de la technique sont payés pour leur prestation. Quand a la personne qui a composé/ecrit ben ca lui rapporte pas grand chose. l’ambition principales des tournées est bien souvent de relancer la vente d’un album. Car dans la plupart des cas c’est une opération qui coute (autant qu’elle rapporte voir plus) reste eventuellemnt pour l’artiste la possibilité d’inclure une documentation sur la maniere d’utiliser son oeuvre ;-) en ligne : hop
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Des histoires de cul gratuites
29 juillet 2001,
message de Femme floue
La musique, la littérature, le cul, la photographie.... gratuits sur internet ? en ligne : Des fesses en souvenir
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> Gratuité de l’inutile
28 juillet 2001,
message de Un visiteur
Pourquoi pas la gratuité de la musique ? Si les politiques démagos avaient compris que la musique, c’est le rinçage des boyaux de la tête du bon peuple, ils auraient tout fait pour la rendre gratuite et obligatoire. Ecouter de la musique, c’est en position de consommateur passif et docile. Moi, je n’admire et je n’envie pas les écouteurs de musique, les fumeurs, les lecteurs de romans ou les buveurs de bière. Mon seul désir, c’est de CREER, pas de consommer en troupeau.
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Danube de la pensée.,
28 juillet 2001
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Vive la bière libre !,
Internationale éthyllique,
28 juillet 2001
Perso, j’ai du mal à faire confiance à quelqu’un qui n’aime pas la bière. Boire de la bière est un acte on ne peut plus créatif, qui permet de discuter avec des potes, d’accompagner les clopes et de prendre du ventre. Sans parler de la variété des bières de toutes sortes de contrées qui stimule l’imagination et incite au voyage (moi c’est la tchèque que je préfère, et ça s’exporte peu, parce qu’ils la boivent toute sur place, ces ivrognes). C’est pourquoi nous exigeons dès aujourd’hui la gratuité de la bière pour tous, selon le concept de licence freebeer, qui autorise chacun à se faire péter la panse jusqu’à ce que mort s’ensuive. Buveurs de tous les pays, unissez vous !
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> Vive la bière libre !,
Yobs,
30 juillet 2001
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> > Vive la bière [ en vente ] libre !,
Phant0w,
8 août 2001
Vous avez raison les éthyliques mais tout ce la ne fait pas avancer le débat..... en ligne : Indispensable pour refaire le monde ;)
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> Vive la bière libre !,
FLAMBY,
15 mai 2004
non seulement boire de la biere est un acte créatif mais c’est aussi un acte culturel a part entiere : la barrique a qui je répond adore la biere tchéque(et elle a raison de s’en remplir) et contribue donc a faire connaitre ce pays et sa culture a travers le monde et le gosier(les tchéques sont les plus gros consommateur de biere pa tête au monde)
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Elles te servent, tes oreilles ?,
PRIVATE JOKER,
1er août 2001
"Ecouter de la musique, c’est en position de consommateur passif et docile. C’est comme fumer ou boire une bière : ça n’apprend rien, ça calme, et ça rend content de soi. Lire un livre, ce n’est pas la même chose." > Y’a une différence entre le verbe "entendre" et le verbe "écouter", n’est ce pas ! Quand on ECOUTE, on se concentre sur les sons que l’on perçoit, on essaye de les comprendre, on prête attention... On se met en fait en état de concentration, exactement comme lorsque l’on lit et que l’on essaye d’apprécier et la syntaxe et la sémantique. Sinon, pour ce qui est de ta fameuse création, j’vois pas trop où tu veux en venir : d’après ce que tu as écrit, le fait de lire (et pas des romans surtout, hein !) te rendrait créatif ? Enfin pour ce qui est des "politiques démagos", je pense qu’ils ont du comprendre depuis longtemps (vu que les marchands, eux, l’ont bien compris) l’intérêt de la musique pour asservir les masses : les hymnes nationaux, ça existe, de même que les chants patriotiques... Y’a quand même un question qu’il faudrait se poser, c’est pourquoi la zik est elle placée plus haut (tout du moins dans nos zolies sociétés occidentales) dans la hiérarchie des arts que par exemple la peinture ? Pourquoi est-elle autant plébicitée ? Répondre à cette question devrait permettre de savoir pourquoi on veut sa gratuité...
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> Elles te servent, tes oreilles ?,
Stek.Tartar,
2 août 2001
Y’a quand même un question qu’il faudrait se poser, c’est pourquoi la zik est Ah .... Mister Private Joker, Effectivement c’est une excellente question ; Comme je l’ai dis dans l’article, Je dirais que la musique est le plus evanescent des arts, le plus immatériel ; Ce ne sont que des éléments de pistes, evidemment ; si qqu’un en a d’autres, ST
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> > Elles te servent, tes oreilles ?,
Olivier,
2 août 2001
Moi je dirais beaucoup plus simplement que si la musique est le premier des arts dont la gratuite est reclamee c’est surtout pour des questions techniques et pratiques. Le format Mp3 permet d’obtenir une copie (presque) identique a une version CD, avec un confort d’ecoute equivalent, facile a stocker et avec des delais de telechargement raisonnables pour n’importe quel internaute. Le seul autre art qui pourait pretendre aux memes avantages serait la litterature. Un texte est encore plus facile a stocker et a telecharger qu’un fichier Mp3. Seulement, le confort de lecture d’une version electronique d’un livre est loin d’egaler celui d’une version papier. Pour le reste, il n’est encore meme pas imaginable d’obtenir simplement une version numerique d’une peinture ou d’une sculture qui puisse pretendre imiter meme passablement l’original. La question aujourd’hui pour la musique n’est pas de savoir si on peut obtenir la musique gratuitement puisque c’est deja une pratique courant. La question est de savoir si on peut le faire legalement. Si on pouvait techniquement obtenir une reproduction acceptable d’une peinture, je suis sur que la peinture gratuite serait aussi a l’ordre du jour. D’ailleurs, les problemes de reproductions d’oeuvres numeriques sont deja d’actualite. Voila un autre element de piste. Un peu plus terre-a-terre peut-etre... Olivier
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"Moi, je me les récure tout les matins : Kot-On-Tij, pass’que je le vaux bien...",
PRIVATE JOKER,
2 août 2001
B’jour tout l’monde, Olivier, tu n’as pas tort d’aborder le problème d’un point de vue technique, car depuis le début du 20° siècle c’est cette question qui a primé. Premièrement, la musique peut être "fixée" sur un support qui ne fait pas partie de l’oeuvre en elle-même : au début ce fut la cire, ensuite les bandes magnétiques, puis le vinyle, et enfin le numérique (DAT en premier, CD et disque dur ensuite, DVD et MP3 maintenant, et demain ?). Ce qui n’est pas vraiment le cas de la peinture ou de l’architecture, où la matière de fixation fait partie de l’oeuvre d’art : ce qui est bien sûr un peu délicat pour en faire la duplication (quoique, des litographies à 50 balles produites en usine soient comparables à des singles des 2b3, mais je m’égare...). Deuxièmement, la musique "enregistrée" a de multiples moyens de diffusion : disques bien sûr (analogiques ou pas), mass-media (TV, radio, ...), boutiques et autres lieux de consommation, et maintenant le Net. Pour la sculpture ou le théâtre, généralement on se déplace sur le lieu de représentation ou d’exposition, ce qui est bien sûr un peu moins facile pour découvrir les dernières tendances de ces arts. Mais bon, à la limite le cinéma peut aussi être considéré comme bénéficiant des mêmes condition de production et de distribution, alors pourquoi n’est-il pas mis sur le même pied ? Là, ça devient un poil moins technique car... Troisièmement, la musique est le seul art qui ne s’adresse pas à la vue (à part la littérature déclamée, et dans une moindre mesure le théâtre) mais à l’ouïe : ce qui fait croire à certaines personnes qu’elle peut avoir un rôle de "fond sonore" (essayez donc de rester plus de 5 minutes dans une pièce où les murs sont constitués de TV formant un "fond visuel"), ou ce qui fait également que peu de gens l’ECOUTENT étant donné que la vue est plus développée que l’ouie. Ceci expliquant donc le succès de son potentiel de diffusion. On aurait donc affaire à un art qui "bénéficie" des dernières avancées technologiques pour être mis à la portée de tout le monde, mais qui paradoxalement peut ne pas être "pris en compte" de façon sérieuse au niveau de l’attention qu’on y porte. Mais tout cela reste à voir... Personnellement, ce qui me gène c’est les arguments genre "ouais, vu qu’on peut dupliquer et diffuser la zik comme qu’on en a envie, yaka la rendre gratuite et basta !". Parce que peut-être que l’on peut réduire les coûts de diffusion par le biais du MP3 ou de ce qui va le remplacer, mais pour réduire les coûts de production il risque d’y avoir du boulot : les studios d’enregistrement vont pas se mettre à bosser gratis pour faire plaisir à d’autoproclamés "pirates napsteroïdiens du Veb". Sans compter que des zikos qui n’ont que le RMI pour vivre -dans un système où la musique n’est PAS gratuite- j’en ai connu : si elle devient gratuite, merci pour eux, mais les morceaux en MP3 risquent au bout d’un moment de tous se ressembler, vu que y’aura plus de zikos pour en créer de nouveaux... Dans la musique, y’a pas que la tekno ou les "nouvelles musiques électroniques" qui existent, y’a aussi des trucs faits avec des instruments en bois ! Voilà, voilà, à plus.
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Je propose un compromis : payons moins cher....,
Phant0w,
8 août 2001
je suis d’accord avec toi je pense que la musique en ligne (via le MP3 ) reduira considerablement à terme, le cout d’un achat d’album(en ligne ou non). en ligne : Merci à celui grace à qui tout arriva
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Et comme dit DéDé : "Compromis... Chausse du ???",
PRIVATE JOKER,
8 août 2001
Hello PhantOw, Pourquoi t’aimes pas Doc Gynéco ?!? C’est bien Doc Gynéco... Bon, assez rigolé... Si tu t’intéresses aux coûts du disque, je te conseille un bon bouquin sorti aux éditions Dixit -"Le Producteur de Disques"- qui résume assez bien le rôle de chaque intervenant, ainsi que la part de money qui lui revient. Sinon, il y a un bon article sur Uzine2 (le 819) fait par des musiciens qui tentent de mettre en place la licence FMPL (équivalent de la licence GPL du logiciel libre) avec un forum et des liens intéressants : je préfère personnellement que la réflexion sur la musique gratuite (ou libre) soit engagée par eux et non par les marchands (producteurs, éditeurs, distributeurs, etc...). A bientôt. PS : très bon pseudo... bravo ! en ligne : Musique Libre ?
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> Et comme dit DéDé : ,
Phant0w,
9 août 2001
Merci pour les reference et l’article que je vais m’empresser de devorer ;). Personnellement, je crois qu’a l’avenir se distinguera 2 "grp d’opinions" : 2- Partisans [de josé bové :],du travail benevole, des communautés libres(Gnutella, Linux, GNU, FMPL...) dans le respect de l’environnement et des gens.[ces gens la vivant heureux dans le partage(/copie) non-marchand des biens de chacun,sans frustrations (générées par la publicité) à combler. ..en gros la gauche et la droite de demain.Ca promet !
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"Bin oui, vaudrait mieux : j’suis aveugle...",
PRIVATE JOKER,
2 août 2001
Salut ST, Bon, à part le fait que je pense que le problème se situe au niveau technique (voir mon autre post, genre "offre qui précède la demande") et "sensoriel", je vais quand même tenter de développer ton aspect "marché du supplément d’âme" : j’ai devant moi les statistiques 1996 de ventes de disques en France, ça a bien entendu changé mais pas qualitativement. Albums Diamant (1000000 d’exemplaires) : "Mozart-Requiem" (la XYZième version), "Les plus belles chansons françaises 1962" (34 ans après), "The Cranberries" (tu sais, la gueularde), "Abba Gold" (ZYXième version), "Phil Collins" (un best of, mais en live : belle excuse), "Michael Jackson" (bambi oxygèné), "Florent Pagny" (chevrotine dans la tête... non pardon, c’est obispo !). Singles Diamant (750000 ex.) : "Macarena" de Los Del Rio, "Tic Tic Tac" de Carrapicho. Tu as raison de parler de marché, mais là où tu vois un "besoin d’idéalisme refoulé", j’y verrais plutôt l’influence de la pub... A moins bien sûr que cette dernière ne participe AUSSI à ce manque : mais alors dans ce cas, l’âme occidentale est pauvre, et ce n’est pas la gratuité de la musique qui y changera quelque chose (d’une manière positive ou négative, d’ailleurs). Dans tous les cas, si "gratuité (ou presque) de l’inutile" il doit y avoir, cela sera résolu par les marchands. Et les "pirates napsteroïdiens du Veb" qui voudront s’écouter le dernier Best Of de Halliday en MP3 (ou d’un autre nuisible) n’auront aucun pouvoir sur le processus et se contenteront de consommer gentiment (d’une manière directe ou indirecte), comme d’hab’ ! A la chain’pro.
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> Ok les Uzineux, mais ...,
ST,
3 août 2001
Je vous reponds à tous les deux : Evidemment que la musique est reproductible (aisemment). Mais comme j’ai essayé (laborieusement) de l’expliquer, d’autres trucs sont aussi aisemment reproductibles : les programmes informatiques, les jeux videos,les DVD (d’ici peu en natif ou en DivX), etc ... Personne n’en a demandé expressement la gratuité. D’autre trucs non reproductibles pourraient etre gratuits (j’ai parlé des transports ; c’est un marronier qui court depuis toujours à la RATP). Alors quoi ? Il apparait que pour la musique la raison invoquée (reproduction et distribution facile) n’est non seulement pas suffisante, mais même pas necessaire ! A mon avis, le joker privé etait dans le vrai lorsqu’il disait que c’est parce que la musique etait le plus arty des arts. En fait, je pense que pour des raisons à déterminer (c’etait ma question au post d’avant), la musique apparait comme un truc absolument essentiel (à mon avis à tort) ; dans le même temps, il s’avere que qu’elle est tres facilement reproductible ; en conséquence il apparait donc intolerable qu’elle ne soit pas gratuite. CQFD. Mais fondamentalement, il n’y a toujours pas de raison. D’ailleurs même l’argument du fait accompli des hakerz qui pensent avec leur clavier ne tient pas : ils deplombent à tour de bras des CD de programmes ou de jeux, sans pour autant en demander la gratuité (à se demander si ce n’est pas l’atavisme bien français de la resquille qu’ils tentent ainsi de rationnaliser et derendre respectable)... Etrange non ?
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> > Ok les Uzineux, mais ...,
TNT,
3 août 2001
Salut le steak, Je pense que tu devrais donner des références précises du débat Ceci dit, le critère "arty" s’applique bien aux productions médiatiques de Kirou & co, a+ TNT.
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Bin oui, mais moi j’suis pas Uzineux...,
PRIVATE JOKER,
3 août 2001
Jour’bon, "le joker privé etait dans le vrai lorsqu’il disait que c’est parce que la musique etait le plus arty des arts." > attention, j’ai pas dit ça : je me suis juste demandé pourquoi elle était autant plébicitée, nuance. "Il apparait que pour la musique la raison invoquée (reproduction et distribution facile) n’est non seulement pas suffisante, mais même pas necessaire !" > nécessaire si, suffisante non : à mon sens, il a fallu que sa diffusion génère une habitude d’en entendre, ce qui ne veux d’ailleurs pas dire d’en consommer de façon "directe"... Je me réexplique : la musique s’adresse à l’ouie (sens secondaire), et non à la vue (sens primaire). Ce qui fait qu’on peut en placer partout sans que cela ne soit pas considéré comme autre chose que comme un agréable bruit de fond. Pareillement, la musique est un ingrédient indispensable d’une "fête" : là, les éléments sont culturels. Autrement dit, dans la vie (urbaine et occidentale) de tous les jours, de la zik on en mange à toutes les sauces. Mais dans la plupart de nos moments "exceptionnels" aussi ! Et cela sans débourser un centime : quand tu vas dans un bar, dans un hypermarché, y’a de la zik "gratuite"... Quand tu allumes la radio, idem (tu payes la radio, pas la musique qui y passe !). Quand tu regardes la TV, idem : jingles (bien souvent repris dans un répertoire existant, sans que la source soit obligatoirement citée) de pub, d’émissions, de films, etc... Tout cela de façon habituelle, tout en restant secondaire. C’est à mon sens pour cela que "la musique apparait comme un truc absolument essentiel", par simple habitude. Non pas d’ailleurs de consommation, mais comme faisant partie intégrante de notre environnement, sans toutefois être considérée comme indispensable. Alors dans ce cas, tout le monde en veut, mais sans que ça revienne trop cher. Et sur le Net, miracle ! On peut l’avoir gratos : pourquoi se priver, franchement ! Pourquoi même se poser la question : "mais pourquoi j’ai besoin (ou plutôt j’ai l’habitude) d’entendre de la musique" ? Hein, pourquoi ? Fondamentalement ?
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> > Ok les Uzineux, mais ...,
William Steve Applegate,
3 août 2001
J’avoue que même après ces précisions, je reste très perplexe : donc, tu t’élèves contre la gratuité de la musique parce que, d’après toi, elle serait injustement au centre des débats ? Détrompe-toi : la musique n’a cet honneur que « grâce » à Napster, dont la facilité d’utilisation a provoqué une montée en flèche des échanges. Mais ce n’est pas le plus important ; ce qui est important, c’est que le corollaire de Napster est une prise de conscience accrue que payer pour des produits reproductibles sans effort ne profite qu’aux accaparreurs. Tu remarqueras d’ailleurs que les nouveaux protocoles de peer-to-peer permettent d’échanger tous types de fichiers, et non seulement des MP3. Autrement dit : la musique a été le déclencheur, mais je suis certain que personne ne la voit comme un but en soi (sauf ceux qui n’ont pas d’ordinateur, pas de magnétoscope, et qui ne lisent pas de livres peut-être). Le véritable problème est que beaucoup de gens ne sont pas encore passés de la rébellion de fauteuil (lancer son client Gnutella) au lobbying actif. Je suis certain que si nos élus récevaient plus de courrier demandant la gratuité du savoir, ils feraient un peu plus attention au sujet (encore que, question lobbying, les majors s’y connaissent aussi ; mais bon...) Dans tous les cas, je n’ai personnellement jamais vu l’affaire Napster liée exclusivement à la musique, mais bien à tous les médias soumis à copyright ; me serais-je trompé ? Enfin, concernant les resquilleurs qui se font passer pour des sauveurs de l’humanité , ils existent, mais je ne vois pas l’intérêt d’attirer l’attention sur eux ; ces gens-là ne peuvent que faire de la mauvaise publicité aux autres, et n’ apporteront rien à long terme ; une loi restreignant le copyright est bien meilleure qu’un crack pour déplomber le dernier soft à la mode...
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> > Ok les Uzineux, mais ...,
Olivier,
3 août 2001
"[...]Mais comme j’ai essayé (laborieusement) de l’expliquer, d’autres trucs sont aussi aisemment reproductibles : les programmes informatiques, les jeux videos,les DVD (d’ici peu en natif ou en DivX), etc ...[...]" De nos jours, grace aux media qui ont tres largement contribuer a lancer le debat sur la musique gratuite, le fait de copier un logiciel est considere comme un acte fortement reprehensible, souvent qualifier de "piratage" (on devrait pas dire "piraterie" plutot ?). Copier de la musique, par contre, est un acte communement rependu puisque tout le monde a copie des 33/45 tours ou des CDs d’abord sur cassettes puis sur des CDs enregistrables. Comme les autorites n’ont jamais semble s’emouvoir trop de ces copies "privees", la copie de musique a ete depenalisee dans l’esprit du grand publique. D’ailleurs, lorsque vous achetez une cassette ou maintenant un CD vierge, vous payez une taxe pour "rembourser" la Sacem des "pertes" que cet achat lui fait subir. Ca veut pas dire que l’etat est d’accord ca ! De plus, si la copie de fichiers musicaux est a la portee de tous, celle de programmes informatiques, souvent proteges, necessitent souvent manipulations complexes pour des gens qui ont deja du mal avec un soft achete incluant une documentation comportant les instructions detaillees et pas-a-pas. Alors un soft copie, sans doc et qui necessite plus de 2 clicks souris... Et puis "logiciels gratuits" est aujourd’hui associe a Linux et compagnie, eux meme consideres comme des produits trop compliques. L’informatique c’est, par essence mediatique, complique, il est donc normal de payer pour que ce soit plus simple. Le grand publique est donc plus abitue et plus confiant avec la copie de musique qu’avec celle des logiciels. La copie gratuite et legale de musique lui parait donc plus naturelle. "[..]D’autre trucs non reproductibles pourraient etre gratuits (j’ai parlé des transports ; c’est un marronier qui court depuis toujours à la RATP).[...]" Tout le monde sait tres bien que si les transports etaient gratuits pour l’usager, ils seraient payes par nos impots. Comme tous les gens qui ne prennent pas les transports ne veulent pas payer pour les autres (et ils ne sont pas une minorite negligeable), demander la gratuite des transports ne serait pas forcement tres populaire... (vous pouvez remplacer dans ce paragraphe les transports par tout autre service grand publique) Je pense vraiment que vous allez chercher des raisons hautement phylosophiques a probleme bassement materiel... Olivier PS : Les "hakerz" se foutent pas mal de la gratuite des logiciels. Ce qui les amuse c’est de casser une protection, de battre la World Company, pas d’utiliser le soft. Et puis de toutes facons, gratuit ou pas, s’ils veulent un logiciel il ne payent pas.
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Le mp3 d’antan : méthode.,
Phant0w,
8 août 2001
>""Evidemment que la musique est reproductible (aisemment). >Mais comme j’ai essayé (laborieusement) de l’expliquer, d’autres trucs sont aussi aisemment reproductibles : les programmes informatiques, les jeux videos,les DVD (d’ici peu en natif ou en DivX), etc ... >Personne n’en a demandé expressement la gratuité"" Il faut savoir aussi que la musique est diffusée(dans son integralité) via les mass-media (à l’inverse des films,peinture..et autres ) ce qui sous-entend implicitement son acessabilité [orth ?]. Bref,la facilité de récuperation de la musique sous-entend une pseudo gratuité tolèrée parce que diffusée....(donc récupèrable). en ligne : Attrapez-les-tous !
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> > Elles te servent, tes oreilles ?,
mixmac,
7 août 2001
Toute petite indication sur la musique avant (et pas à la place) des autres objets culturels : la réponse gît dans les archives de l’INSEE. Premiers postes de dépense des jeunes pour les loisirs (entendez par là les 15/35 ans) : la musique en tête, les sorties au restau en deuxième. Il est quand même plus facile de "satisfaire" les pulsions des plus jeunes avec de la musique gratuite, immatérielle comme souligné par nombre d’entre nous, que de rendre les restaus gratuits.
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Rewind,
PRIVATE JOKER,
7 août 2001
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La musique : l’opium du peuple djeunz.,
Phant0w,
8 août 2001
Qui fait rever les djeunz ? (13-17 ans) Qui fait des clips ciblés sur une population ? Qui fait la gloire de "Planète Hollywood" ? Qui représente l’idéal djeunz ? en ligne : Les stars bien sur !
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Ne nous emballons pas,
PRIVATE JOKER,
8 août 2001
Re-Hello, La gratuité de la musique n’est pas obligatoirement demandée QUE par les djeunz... De plus, le phénomène "star" ne se rencontre pas que dans le domaine musical : dans le cinéma et à la TV également, etc... Et il y en eu aussi aux Grandes Epoques de l’opéra, du théâtre ou de la radio ("video kills the radio stars") : en gros pour tous les arts qui exigent des INTERPRETES. Mais personne ne demande la gratuité du cinéma, et tout le monde accepte le pay-per-view de la téloche cablée, alors ? A+
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Alors ? Pourquoi ?,
Phant0w,
9 août 2001
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"So What ?" comme disait Miles...,
PRIVATE JOKER,
9 août 2001
Jour’bon, ...parce la musique est "implicitement" deja gratuite via la copie privée que l’on peut s’en faire a travers les mass-medias &&&&&&&&&&& Il faut savoir aussi que la musique est diffusée(dans son integralité) via les mass-media (à l’inverse des films,peinture..et autres ) > Mince, moi qui croyait que c’était la même chose pour le cinoche, i.e. que les conditions de copie privée étaient les mêmes pour le cinéma et la musique, diffusés sur les mass-media... De plus, en ce qui concerne la so-called "intégralité", j’ai rarement vu un album ENTIER d’un artiste tourner en heavy-rotation ! Va savoir, c’est peut-être pour cela que la musique (dans ce cas, plutôt populaire) est tant plébicitée : quasi-toujours le format chanson (le célèbre AABA), une durée maxi de 5 minutes histoire que ça entre par une oreille et que ça sorte par l’autre, etc... Personnellement, je suis presque d’accord avec ST quand il dit "la musique est le plus evanescent des arts, le plus immatériel" : mais là où il pose l’explication en terme "philosophique", j’aurais tendance à la poser en terme "sensoriel" (ouïe au lieu de vue)... D’ailleurs, puisqu’on est dans la sensualité, on pourrait se demander pourquoi la cuisine n’est pas considérée comme un art (au maximum comme un artisanat) : ne serait-ce pas parce que cette technique s’adresse aux sens de l’odorat, du toucher et du goût, considérés comme moins nobles que la vue ou l’ouïe ? Désolé pour cette ouverture, mais comme j’ai une petite faim... A la chain’pro.
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> Hum ! Quel bruit.,
HSS,
10 août 2001
Bonjour vous tous, ardent défenseur de la musique. Je n’ai pas lu tous les messages. Au bout d’un moement j’en ai eu marre. Serais-je l’exacte représentant d’une société préssée ? Bon en tout cas. Allez voir sur des sites de MP3, des sites warez bien sur et dites moi ce que vous voyez. Quels sont les morceaux qui sont en telechargement ? Bref, ceci est une fausse question. Rien à faire que Jackson gagne un peu moins parce que les moutons se font une petite jouissance disgressive en volant leur musique préféré. Bonne continuation.
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"White Noise", ANTHRAX,
PRIVATE JOKER,
10 août 2001
Salut à toi, HSS, Je n’ai pas lu tous les messages. Au bout d’un moement j’en ai eu marre. Serais-je l’exacte représentant d’une société préssée ? > exact peut-être pas, en tout cas assez représentatif, oui... Qui serait géné par la gratuité de la musique sur le net ? Ceux qui gagnent dèjà largement plus que nous tous réunis. > la réponse est pourtant simple : tout le monde serait gêné, surtout si ce n’est pas voulu par les artistes mais imposé par les bons cochons de consommateurs ou les ceusses qui leur fournissent leur confiture ! Il est quand même pas trop compliqué de voir que dans ce cas, là où les "stars" auraient un léger manque à gagner, les autres (les "petits" puisqu’il faut préciser) crèveraient sur place. De plus si je vais chez Napter chopper un album entier avec mon petit modem vous trouvez que c’est de la musique gratuite ? ? > bin non, mais on a jamais dit non plus que le but était d’engraisser Napster ou France Télécom, n’est ce pas... Ce n’est pas cette gratuité qui permettra à des artistes (des vrais d’être reconnu et de vivre). > sauf, peut-être, s’ils viennent à s’en occuper par eux-mêmes, de la fameuse "gratuité", avant que de joyeuses multinationales ne le fassent à leur place ! A+
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> > Elles te servent, tes oreilles ?,
Johnny B Good,
14 août 2001
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> Gratuité de l’inutile,
tOMAZ,
27 mars 2003
Wouah surper ton concept... sauf que c’est celui de la rome antique. Seuls les créatifs (les auteurs) étaient admirés, les liseux ou lecteurs étaient de la sous-merde. Problème, après plus personne ne se lit ou ne s’écoute...et chute de l’empire de rome. |
> Gratuité de l’inutile
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> > Gratuité de l’inutile,
27 juillet 2001
|
> utilité de la gratuité
27 juillet 2001,
message de Lucien
1/ En ce qui me concerne, je ne demande pas le droit à la musique gratuite, je le prends (saints Gnutella et Freenet, priez pour nous). Idem pour les transports en commun, d’ailleurs (vade retro controleur) 2/ Je ne vois pas la contradiction entre demander la gratuité de la musique et demander la gratuité des transports, du logement, et compagnie. Au contraire, c’est un premier pas contre la notion de propriété. 3/ JS Bach n’a jamais vendu un seul disque de son vivant, j’en suis à peu près sûr. Le mécenat, les représentations publiques ont toujours été les moyens de rémunération des artistes, et je ne vois pas pourquoi ça ne continuerait pas. C’est d’ailleurs le cas pour beaucoup d’artistes peu médiatisés. En revanche, il est clair que B Spears et consors risquent de gagner un peu moins de millions. Est-ce un mal ?
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> > utilité de la gratuité,
28 juillet 2001
D’un autre cote, de son vivant a Johann Sebastian, y’en avait pas beaucoup qui en vendaient des disques... Et puis meme gratuits, c’est pas sur que les CDs de ce cher JS se "vendraient" mieux que des disque de Britney payants. Enfin vivement l’abolition de la propriete, qu’on puisse prendre des vacances...
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abolition de la propriété,
Lucien,
28 juillet 2001
En fait, je ne voulais pas dire du mal de Britney ; je ne suis pas sûr d’avoir jamais entendu une seule chanson de cette jeune fille. Le capitalisme appliqué aux choses matérielles est injuste, mais efficace. Le capitalisme appliqué à l’immatériel (programmes, musiques, textes...) est injuste et inefficace. La contestation de la propriété privée a échoué jusqu’ici à cause de la capacité de production inégalée du capitalisme. Mais dans le cas des productions intellectuelles, on voit que la notion de propriété freine l’accroissement de la richesse globale. Ne peut-on pas espérer qu’avec le développement des activités immatérielles, on en vienne à contester globalement le capitalisme et la propriété privée ? La musique gratuite et le logiciel libre ne peuvent-ils pas être le fer de lance d’une conception différente de l’économie ? C’est vrai que ça fait petit bourgeois, la musique gratuite, mais c’est la contestation du concept général de la propriété qui est intéressant. Non ?
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> abolition de la propriété,
30 juillet 2001
Disposer d’une propriété immatérielle est idéal pour le capitaliste, car : 0 entretien : pas de locaux, de gardiens, de titures à refaire, de pollution, de querelles de voisinage, etc. Pas de responsabilités, pas de risques, pas d’incertitudes, pas de frais. Quand cette propriété est en plus "culturelle", on atteint le summum : Certains droits sont inaliénables ou incessibles.
Vus toutes les qualités de tels biens, il n’est pas étonnant qu’un véritable capitaliste fasse tout pour s’en emparer. Les artistes font généralement de mauvais capitalistes. Ceci dit, la propriété de biens numérisables est effectivement un concept financièrement risqué, puisque même si la propriété reste inaliénable, les précieux revenus de cette propriété sont très menacés. Vous remarquerez d’ailleurs l’énorùmité des mouvements boursiers dans ce secteur, preuve s’il en était besoin que le monde se divise entre ceux qui "y croient encore" et ceux "qui ’ny croient plus". Alors... qui a raison... JMM ou Time Warner ? Donc, je conteste ; la propriété immatérielle a bien quelques spécificités.
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Prochain débats autour du mp3 sécurisé .,
Phant0w,
8 août 2001
Autre débat : le controle de la difusion de biens immatériels (comme le mp3) serait-il un alibi pour le controle de la vie privée ? "Pour que tu ne puisse pas copier ton mp3 chez qqun d’autre, je te surveille via ce que je t’ai vendu." ...et je te surveille tout court en ligne : Big Brother is watching you
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