|
|
|
|
|||||||||||||||||||||
|
|
> Internet chez les pauvres
echo bouton_block_invisible("message210317");
?>
> Internet chez les pauvres,
Jedi,
22 mai 2002
echo bouton_block_invisible("message210326");
?>
> Internet chez les pauvres,
djé,
22 mai 2002
si pourquoi ? il n’y a donc que la flagornerie qui t’interesse ? et l’humour ? t’es pas là pour dire que des choses très eclairées. Je le trouve bien l’article mais bon je m’en contrefout de savoir ce que font les riches au mexique, alors je plaisante doucement comme Le Pen avec les républiques bananières quoi !! attention cynisme (je previent maintenant...)
echo bouton_block_invisible("message210338");
?>
> miam miam,
Jedi,
22 mai 2002
" visiblement t’es pas là pour dire des choses très eclairées" > tu te trompes, ô ami, je suis là pour allumer les feux de la vérité. Ne soit pas craintif, laisse entrer en toi le fluide cosmique du guide. "je plaisante doucement comme Le Pen" > Tu te trompes encore, ô ami, tu suis la mauvaise route. Plus rapide, plus séduisant est le coté obscur, mais la force est de mes alliés, et c’est la plus puissante. Ainsi, ô ami, ne soit cynique envers cet article que tu dis aimer. Libère ton esprit et accepte enfin l’amour ...
echo bouton_block_invisible("message210379");
?>
> miam miam,
djé,
22 mai 2002
echo bouton_block_invisible("message210396");
?>
> hum ... ho oui !,
Jedi,
22 mai 2002
echo bouton_block_invisible("message210512");
?>
> hum ... ho oui !,
23 mai 2002
|
> Internet chez les pauvres vu par... ..."Les riches"
18 mai 2002,
message de Sisyphe
L article est en fait une critique plus interessante du point de vu des pays developpes que de la realite de l internet dans les pays pauvres... Je pense que la vision d internet en tant que "communaute virtuelle" par exemple est assez typique des societes qui n ont rien d autre a foutre que de discuter et d analyser les nouveaux phenomenes. Comme le dit un type d une de ces banlieux tant etudiees (dans le film "Etat des lieu" de J-F Richet) : "He, va voir le sociologue" Effectivement, la vision de ces cafes internet qui fleurissent apparemment un peu partout dans les pays en developpement est un bon moyen de relativiser les choses. Par contre, je pense qu il est assez difficile de faire des commentaires sur l utilisation d internet dans ces pays quand on y est seuleument de passage. Je suis au Yemen depuis plus d un an maintenant, j ecris d un de ces cyber cafes ou je passe plus de trois fois par semaine et j ai toujours du mal a voir clairement quel peut etre l impact de l ouverture a internet dans un pays comme le Yemen... Ca fait un bail que j ai envie d ecrire un article la dessus... Du coup, c est peut etre pour bientot... Sisyphe, pousseur de rochers yemenites (en tout cas pour l instant)
echo bouton_block_invisible("message209604");
?>
> Internet chez les pauvres vu par... ..."Les riches",
Lefayot,
20 mai 2002
L article est en fait une critique plus interessante du point de vu des pays developpes que de la realite de l internet dans les pays pauvres... C’était aussi un peu le but de l’article, etant donné qu’effectivement, raconter ce que j’ai vu en passant dans les cyber-cafés mexicains est un peu léger et forcement partiel (mais divers intervenants ont corroboré mes dires quant à d’autres pays émergeants). Je pense que la vision d internet en tant que "communaute virtuelle" par exemple est assez typique des societes qui n ont rien d autre a foutre que de discuter et d analyser les nouveaux phenomenes Nuance : ceux qui discutent et analysent sont des professionnels de la discutaille ; les usagers, eux, utilisent internet. Le pb des ceusses qui étudient le truc, c’est qu’ils le font de manière circulaire, en se référant à d’autres études, sans - semble-t-il - aucune étude de terrain, et plus grave se réfèrent à des ouvrages à qui sont de pures mises en scene de fantasmes (comment parler sérieusement d’internet - et à fortiori de son usage - à partir de, par exemple, Negroponte ?). Par contre, je pense qu il est assez difficile de faire des commentaires sur l utilisation d internet dans ces pays quand on y est seuleument de passage C’est aussi mon avis. Mais quand on lit les etudes savantes et creuses sur internet, on a envie de protester un peu en disant : « eh mais regardez ce qui se passe ici ou là ! Vous délirez ou ennoncez des evidences ». Il me semble que cet article est mieux que rien ... Ca fait un bail que j ai envie d ecrire un article la dessus... Du coup, c est peut etre pour bientot... On n’attend que ça, ici :-). Quelque chose d’un peu plus pointu et exhaustif que cet article qui effectivement ne peut etre que partiel ... |
Internet dans le monde ?
17 mai 2002,
message de aaaaaaa
C’est encore moi, juste pour preciser que je trouve quand meme l’article bien ecrit (je serais bien incapable d’en faire autant), meme si d’apres moi le contenu est assez trivial. Bon ceci dit vos reactions a ma remarque m’ont fait penser a une chose. Peut etre qu’effectivement ca serait interessant de creer un site web qui permette a chacun de s’exprimer sur sa vision de l’internet dans son pays. Ensuite on pourrait probablement en faire des syntheses interessantes. Qu’en pensez vous ? |
j’espere que t’es pas alle au mexique pour "decouvrir" ca
16 mai 2002,
message de aaaaaaa
Le sujet de l’article est interessant, helas il n’y a pas grand chose dedans. Au passage je suis assez etonne par celui qui a commente que dans un pays des plus pauvres d’afrique la situation etait similaire... En Haiti par exemple, qui est beaucoup plus pauvre que le mexique mais probablement pas tellement plus que les pays africains, les gens ne pensent pas trop au cybercafe. A part dans la classes moyenne (pas tres nombreuse), et encore, ca marche rarement et quand ca marche c’est du 2 Ko/s. Ceci dit ce qui est interessant c’est de voir pourquoi ca perce malgre tout meme dans les endroit ou il n’y a pas d’electricite reguliere ou de routes.
echo bouton_block_invisible("message206667");
?>
> j’espere que t’es pas alle au mexique pour "decouvrir" ca,
ARNO*,
17 mai 2002
« Le sujet de l’article est interessant, helas il n’y a pas grand chose dedans. » Sauf erreur de ma part, Lefayot n’est pas parti en mission commandée pour réaliser une étude approfondie de l’utilisation de l’internet au Mexique, mais parce qu’il était en vacances (d’où le surtitre « En short avec un Canon »). Il se contente donc (il prévient d’ailleurs en début d’article) de dire ce qu’il a vu. Et c’est déjà beaucoup plus que ce qui ressort la littérature générale consacrée à l’internet. Malgré la tripotée de sociologues qui ont donné leur fine opinion sur l’Internet, il n’y a toujours aucun moyen de savoir qui utilise l’internet, comment il est utilisé, etc. Tout ce qu’on peut en imaginer, c’est :
Sorti de cela, on ne dispose que de témoignages parcellaires. Qui valent donc uniquement pour leur propre expérience, mais pour l’heure on n’a pas mieux. Comment est utilisé le Net en Afrique noire, en Inde, au Mexique ? Le Net en France est-il utilisé par les exclus (si oui, pourquoi/comment ?), comment est-il utilisé en milieu rural, dans les grandes villes, dans les petites villes ? Y a-t-il une différence d’utilisation fondamentale lorsqu’on se connecte depuis chez soi, depuis le boulot, depuis un poste en libre service ? Les Français, les Allemands, les Italiens se posent-ils les mêmes questions ? Vers la fin de années 80, en France, il me semble que la catégorie socio-professionnelle la plus « informatisée » était celle des agriculteurs ; cela signifie-t-il qu’aujourd’hui les agriculteurs sont de gros utilisateurs de l’internet ? Les électeurs du Front national sont-ils plus ou moins connectés au réseau que les électeurs du Parti socialiste ; quand ils se connectent, est-ce qu’ils préfèrent les sites néo-nazis ou les sites pédophiles, ou bien est-ce qu’ils passent leur temps à récupérer des fichiers MP3 ? Bref, un média dont tout le monde parle, les analyses d’une finesse sociologique épatante, et dont pourtant on ne sait quasiment rien en dehors de sa propre expérience et des discussions avec les copains. Alors, oui, c’est intéressant si quelqu’un a ne serait-ce qu’une bribe d’information sur ce qu’il a vu au Mexique ou en Haïti.
echo bouton_block_invisible("message206672");
?>
> j’espere que t’es pas alle au mexique pour "decouvrir" ca,
17 mai 2002
Je suis bien d’accord avec toi, la connaissance des pratiques (et de l’imaginaire :) est quasi nulle parce que ça n’interesse personne, les chercheurs potentiels préférant discuter autour de l’internet, et le machin changeant tellement que les temps ordinaires d ela recherche ne sont pas compatibles avec autre chose que des généralités à visée sociale et politique. Reste l’ethnographie express, type Lefayot. J’en donnerai une aussi un de ces jours sur l’internet des étudiantes en alphabétisation numérique, ou sur l’ascese de la maintenance des libres services, c’est triste également...
echo bouton_block_invisible("message208101");
?>
Meuh non !,
Sam,
17 mai 2002
echo bouton_block_invisible("message211467");
?>
> j’espere que t’es pas alle au mexique pour "decouvrir" ca,
sapinsapiens,
27 mai 2002
Je suis tout à fait d’accord avec ce que dit Arno, les témoignages parcellaires et fait « sur le pouce » sont très intéressants, même si je ne comprends pas la moitié de ce qu’il dit (! :-)) |
> Internet chez les pauvres
15 mai 2002,
message de Sam
Merci pour ce papier et le débat qui a suivi (ça nous repose un instant des exploits du petit Sarkozy dans nos austères banlieues ex-rouges) mais, bien que ce soit très mal considéré, une petite remarque à caractère purement formel. Voila : à moins de vouloir imiter le martial parler de nos rudes envoyés spéciaux de la télé "sur zone" à "Koweit-city" (ville située _au_ Koweit) du temps du papa de Dabeuliou, il me paraît inutile sinon malséant, dans un papier rédigé en français à propos d’une contrée hispanophone, d’appeler Mexico-city sa capitale, d’autant qu’ici le nom du pays (ie "Mexique") étant différent, aucune confusion ne paraît à crainde. J’ajoute pour conclure, qu’en cas d’irrépressible souci de cuistrerie, il resterait loisible d’écrire "la ciudad de México", voire "de Méjico". Non ?
echo bouton_block_invisible("message197144");
?>
> Internet chez les pauvres,
Lefayot,
15 mai 2002
Ce sursaut contre l’imperialisme US es de bon aloi. Toutefois, le papier ayant été fraichement rédigé au sortir de l’avion, j’etais encore d’une certaine maniere au mexique où les deux noms sont les meme. D’ou le city (ou periphrase lourde) D’ailleurs sur place seul le contexte permet de faire la différence. On y trouve d’ailleurs aussi des Mexico-City en plus des Mexico DF.
echo bouton_block_invisible("message197157");
?>
> Internet chez les pauvres (épilogue),
Sam,
15 mai 2002
> Ce sursaut contre l’imperialisme US es de bon aloi. Merci (Green go home !). > j’etais encore d’une certaine maniere au mexique où les deux noms sont les meme. D’ou le city (ou periphrase lourde) Pardonnez-moi de paraître insister, mais le papier étant, m’a-t-il paru, rédigé en français, ni "city" ni périphrase lourde n’était nécessaire à la bonne compréhension des choses. D’autant que, double sécurité que vous n’ignorez certainement pas, la préposition n’est pas la même devant un nom de pays ou de ville ("au" Koweit, ou "en" Algérie, mais "à" Mexico). En laissant de côté le discutable "en Avignon"... > On y trouve d’ailleurs aussi des Mexico-City en plus des Mexico DF. Ainsi que des Mac-Do et des American Bar. Et le costume national est composé d’un tee-shirt d’une université américaine accompagné d’une casquette Coca-Cola... (Message rédigé au Vésinet-city)
echo bouton_block_invisible("message197165");
?>
> Internet chez les pauvres (épilogue),
Lefayot,
15 mai 2002
Vous savez, c’est surtout en france qu’on adapte le nom des lieux. Le mexique s’appelle mexico et la ville mexico. Mais l’imperialisme gaulois appelle le pays Mexique. C’est un scandale qui fait s’étrangler de rage nos amis mexicains (j’ai failli me faire lyncher là-bas). Et d’ailleurs ça se prononce Mejico dans les deux cas. Quant au Mexico-City et Mexico-DF, ça se trouve sur les panneaux indicateurs le long des routes (DF pour districto federal = l’etat qui contient la ville = en gros la ville). La defense de la langue française, c’est bien beau, c’est noble, tout ce que vous voulez, mais au sujet de cette defense , il me semble y avoir des sujets un peu plus graves (comme l’edition par exemple, meme sans anglicismes). D’ailleurs, je vous conseille ce (tres bon) site
echo bouton_block_invisible("message197372");
?>
> Internet chez les pauvres (épilogue²),
Sam,
16 mai 2002
> l’imperialisme gaulois appelle le pays Mexique. C’est un scandale qui fait s’étrangler de rage nos amis mexicains... N’hésitez pas à leur signaler que ces impérialistes gaulois, non contents d’avoir aidé Maximilien jusqu’à Camerone (ce qui paraît tout compte fait moins grave que de leur avoir piqué le Texas), désignaient ainsi leur beau pays, bien avant que les descendants métissés des Conquistadors ne songent à accoler le suffixe "city" au nouveau nom de Tenochtitlán. > Et d’ailleurs ça se prononce Mejico dans les deux cas. Pour sûr, le "x" notant ici la fameuse "rota" - ou jota - et pouvant de fait être noté "j" (cf Xérès et Jerez), qui se prononce là-bas d’une manière plus douce qu’en Aragon ou en Castille... > D’ailleurs, je vous conseille ce (tres bon) site Merci. J’ai été voir, c’est fort amusant, mais je ne suis pas d’accord avec le dénigrement d’Etiemble. A défaut d’être le grand romancier qu’il rêvait d’être, il parlait plus d’une dizaine de langues et son opinion n’était pas dépourvue d’intérêt.
echo bouton_block_invisible("message197451");
?>
> Tintin au togo,
Jedi,
16 mai 2002
Autant mes posts n’étaient super argumentés, autant ils s’attachaient à discuter du fond de l’article. Ici, tu nous parles de tintin chez les picaros avec une tintinophilie 4ème dan ... mais aucun rapport avec l’internet chez nos potos les pauvres !!
echo bouton_block_invisible("message197482");
?>
> Tintin au togo,
#Jing,
17 mai 2002
oui, il digresse, mais il a raison de signaler que le site en question est un site de cuistre(s ?) où un/des plouc(s) nous informe(nt) que des mots sont à reprendre de l’anglais parce qu’ils auraient "disparu du français". Inchoatif, melliflu et avunculaire n’ont jamais quitté la langue. Faut pas lire que Podium ou Télérama, simplement... Un mot peut disparaitre (pour un temps plus ou moins long) de l’USAGE, il peut changer de sens, il peut être un hapax, mais je voudrais bien qu’on m’explique comment il peut disparaitre de la langue... (Parce qu’il sort du Larousse ??) A part ça j’ai rien contre le franglais SAUF quand ça sert de cache-sexe à des gens qui ne connaissent NI le français NI l’anglais.
echo bouton_block_invisible("message197553");
?>
> Tintin en string,
Jedi,
17 mai 2002
Comment un mot peut-il disparaitre d’une langue ?? Merde alors ! Et pourquoi pas tout simplement quand plus personne ne l’utilise ?
echo bouton_block_invisible("message197560");
?>
> linguisTIC en string,
17 mai 2002
Je m’engage dans une réponse (forme inchoative) pour dire que Jing dans son propos doux (melliflu quasi...) aurait dû définir l’hapax, chose dite une seule fois, autrement sinon comment on peut se comprendre. Vu qu’ils sont employés deux fois en un rien de temps sur ce forum, ces mots n’ont donc pas disparu... :) avunculairement votre Uncle John
echo bouton_block_invisible("message206682");
?>
>le retour des momies,
Jedi,
17 mai 2002
Merci tonton !!! C’est vrai quoi, comment discuter avec des mots morts-vivants qui ne hantent plus que quelques forums ici et là ??? Les langues vivent, évoluent ... des mots naissent et des fois meurent, ça peut être "triste" mais c’est ainsi ! J’ai l’impression que l’origine anglo-saxone est pour beaucoup dans cette hostilité presque mal placée. Qui s’effarouche quand un mot d’origine arabe ou autre est utilisé ? Certainement pas ceux qui crient "à l’assassin !" dès qu’un djeunz s’exprime ...
echo bouton_block_invisible("message208096");
?>
> le retour des momies des mort-vivants de l’espace qui fait peur ,
Lefayot,
17 mai 2002
J’ajouterais que - justement - les hispaniques n’ont pas les complexes des français : ils hispanisent directement les mots anglais sans se faire chier et se poser des problemes existentiels. Ainsi Base-Ball devient Beisbol et Pie se transforme en Pay. En France, au XIXeme, quand le français était vraiment une langue importante (ou considérée comme telle), on faisait pareil. Ainsi Redingote pour Riding Coat. Quant à un mot il disparait bien quand l’usage s’en perd. Sans quoi, le Français du XIIIème siècle serait encore valide (même si inusité).
echo bouton_block_invisible("message208100");
?>
> la peur de mourir de la guerre de l’espace qui fout quand même un peu les boules c’est vrai ...,
Jedi,
17 mai 2002
Certains regrettent le vieux Français semble t-il ... comparant le langage actuel à un magma de franglais vide de sens. C’est oublier un peu vite l’origine du-dit Français, véritable groove-mix d’un Latin de cuisine et de différentes langues "gauloises", puis de centaines de mots ramenés ou importés de moult cultures !! On peu chialer en regrettant d’avoir perdu la louisiane et de s’être fait intubed par les anglophones, on peut aussi descendre de ses grands chevaux et monter dans un TANK avant de se faire raser de la carte.
echo bouton_block_invisible("message208102");
?>
> Suite,
Sam,
17 mai 2002
Ayant découvert le mot "troll" alors que je cherchais vainement sur le site comment faire apparaître des italiques, du gras, ou une url "cliquable" dans un message, je m’en voudrais d’en rajouter une couche... Toutefois, il me semble que sans être un inconditionnel de Boileau ou de Vaugelas, on peut déplorer un certain laisser-aller dans l’expression qui accompagne malheureusement souvent un laisser-aller de la pensée. Le parler de télévision en est une illustration, indépendamment de l’âge de celui qui le pratique. Et les "sur site", "sur zone à Machin-City", et autres sottises des présentateurs d’informations en sont des exemples parmi bien d’autres. J’avais un peu facilement tiré parti de l’occasion qui était offerte pour le signaler. Je ne classe [bien] évidemment pas l’honorable Lefayot, que je lis toujours avec plaisir, au nombre des gangsters précédents. Voila.
echo bouton_block_invisible("message209683");
?>
> Laisse moi zoom zoom zen ...,
Jedi,
20 mai 2002
"je m’en voudrais d’en rajouter une couche... " Heu ... t’es sûr ? ;o) "on peut déplorer un certain laisser-aller dans l’expression qui accompagne malheureusement souvent un laisser-aller de la pensée" Merde alors ! Faut absolument que tu m’invites à une de tes "boileau-mousse-party" ! "J’avais un peu facilement tiré parti de l’occasion qui était offerte pour le signaler." Affirmatif, c’était pas très sport ! Mais bon t’avais un truc sur le coeur, et fallait le sortir c’est normal. :o) "Je ne classe [bien] évidemment pas l’honorable Lefayot, que je lis toujours avec plaisir, au nombre des gangsters précédents." Des "gangsters" ? Comme dans les films, avec des ptits cure-dents au coin de la bouche ?? Pourquoi pas des pédo-nazis aussi ?? T’as pas l’équivalent en français plutôt ?
echo bouton_block_invisible("message209598");
?>
Le discutable "en Avignon",
Nils Auperen,
19 mai 2002
Pour être fixés, l’Académie Française : Pour s’arracher encore plus les cheveux, toute la page vaut le coup... en ligne : http://www.academie-francaise.fr/la...
echo bouton_block_invisible("message209600");
?>
> Le discutable "en Avignon",
Nils Auperen,
19 mai 2002
Ben mon lien Internet a été mangé... Le vla : en ligne : Langue française - Questions courantes
echo bouton_block_invisible("message209613");
?>
> Le discutable "en Avignon",
Sam,
20 mai 2002
echo bouton_block_invisible("message197142");
?>
> Internet chez les pauvres (ps),
Sam,
15 mai 2002
J’oubliais de préciser que nos rudes envoyés spéciaux "sur zone" à Koweit-city (ville dont le nom français est tout simplement Koweit) étaient généralement revêtus d’élégants treillis Pierre Cardin - et savamment mal rasés de trois jours à l’aide de Gillette Mach-III en or. J’ignore si ces points ont de l’importance, mais je m’en voudrais de laisser passer par négligence un détail significatif. Naturellement, hormis la similitude de vocabulaire, je ne songe pas un instant que les pratiques ci-dessus soient celle de l’envoyé d’Uzine !!!
echo bouton_block_invisible("message302485");
?>
> Internet chez les pauvres,
odonel valbrun,
30 janvier 2004
je croix que l, internet est partout . nous pouvons dire grace a l ,internet on peut entendre touts qui se passe a l, exterieur . alord si le monde interesse a l, internet c,est parceque de plus en la plus la technologie devellope . je vous sugere toi meme d, avoir un ordinataire nous .si il y en a quelque qui interest a l,ordinataire j,ai un petit ordinataire disponible. il faut que celui la en haiti. je te laisse mon email adress . |
> nos amis les pauvres
echo bouton_block_invisible("message196745");
?>
> nos amis les pauvres,
Lefayot,
14 mai 2002
D’abord, à Mexico, ils ne sont pas si pauvres que ça. C’était un effet d’accroche. En plus, ils sont propres et dignes. Quant à savoir si je frequente les pauvres du monde entier, je pourrais répondre oui, mais en fait non, mais pas moins que des universitaires qui bossent à partir de compilations qu’ont photocopié leurs étudiants ou les bourgeoises de gauche qui virent dames néo-patronesses. Plutôt plus, puisque j’ai vu ça de visu plutôt que dans le journal. C’est vrai, j’ai un peu honte. J’aurais du titrer ça : L’internet chez les pas si pauvres que ça à Mexico DF. Mais ça aurait eu moins de gueule.
echo bouton_block_invisible("message196750");
?>
> nos amis les pauvres,
Phynette,
14 mai 2002
Si je peux apporter de l’eau au moulin de Lefayot (que je félicite pour son témoignage et pour ses illustrations classieuses), d’abord, oui, il est bien allé là-bas, ses coups de soleil en témoignent.
echo bouton_block_invisible("message196753");
?>
> nos amis les pauvres,
Lefayot,
14 mai 2002
echo bouton_block_invisible("message196756");
?>
> nos amis les riches,
14 mai 2002
je ne mettais pas en doute le fait que mister soit effectivement parti à mexico, juste que "les pauvres", ça veut pas dire grand chose.
echo bouton_block_invisible("message197151");
?>
> nos amis les pauvres,
ManuVinz,
15 mai 2002
Pour ajoutter un exemple, je dois dire que je reconnais assez bien dans cette description la situation actuelle du Pérou,dont je le reconnais, la population n’est pas-si-pauvre-que-ça-mais-quand-même-pas-mal.... Ce qui je dois le dire, à été une surprise pour moi. C’est à dire que je ne m’imaginais pas qu’un voyage en train pourri était un produit de luxe, et je pensait naïvement que l’utilisation des mails en était un. Comme quoi voyager ça instruit.
echo bouton_block_invisible("message196757");
?>
> nos amis les mexicanos,
14 mai 2002
echo bouton_block_invisible("message196758");
?>
> nos amis les mexicanos,
Lefayot,
14 mai 2002
Admettons. Mais à l’inverse, pourquoi s’imaginer que dans des conditions economiques (et/ou sociales) similaires, les situations (vis à vis du web) ne seraient pas similaires ? D’autant qu’il n’y a pas 1 exemple, mais en fait 2, et même 3, si on compte le Burkina-Faso dont j’ai eu des echos similaires. De toute façon, il s’agit d’un article sur le mexique (pas sur les pauvres), et qui ne pretend pas à l’exhaustivité sur le sujet. Mais tu as peut-etre des données plus globales (et verifiables) sur le sujet ?
echo bouton_block_invisible("message196769");
?>
> épisode 2,
Jedi,
14 mai 2002
Je serais triste à l’idée que la situation économique soit le seul facteur de modifications sociétales (j’adore ce type d’expressions top-nazes). Et la culture, la religion, le climat, le tour de poitrine moyen de la population féminine locale etc ..., t’en fais quoi ? J’ai bien compris que tu ne parlais que du mexique, mais des réaktion comme celles de Phiphi (?) montrent que l’article, comme tout bon texte à l’ancienne, se termine par une ouverture, une bonne vieille conclu qui nous ouvre les portes du monde. D’où ma petite question pas méchante. Ce n’était donc pas une critique de ta vision du mexique, plus un doute sur la facilité avec laquelle on pouvait transposer cet exemple partout, all over ze world. La misère reste la misère, mais dans un élan d’espoir niais, j’aurais aimé que les misérables ne soient pas des clones. Je l’admet, c’est sûrement trop optimiste. Je dois manquer d’infos ...
echo bouton_block_invisible("message196776");
?>
> épisode 2,
14 mai 2002
pauvre au sens du cynique Lefayot (dont il faut le dire, le père était archevêque de Lyon et la soeur DG de HP) et misérable sont deux choses différentes... Son constat est scientifiquement impeccable, vu qu’il a un échantillon représentatif, au sens des sociologues (je peux développer). Il est de plus conforté par un autre rédacteur, Julien Bignaux, qui a passé plusieurs mois au Mexique (vive le sous commandant Marcos), en Inde et au Népal. Pas de doute, me dit il, c’est au Népal que les cybercafés sont le plus accessibles. Les uns sont les clones des autres, de la même manière que les vrais riches vivent pensent, s’exaltent et meurent a peu près communément.
echo bouton_block_invisible("message197119");
?>
> il était une fois au mexique 2,
Jedi,
15 mai 2002
Qui a cru que j’utilisais le mot "misérable" autrement qu’en rapport avec la situation financière ?? hein ? Même pas toi, misérable petit frippon, j’en suis sûr ! ;o) "Les uns sont les clones des autres, de la même manière que les vrais riches vivent pensent, s’exaltent et meurent a peu près communément."
echo bouton_block_invisible("message196781");
?>
> épisode 2,
Lefayot,
14 mai 2002
Sans compter qu’avec un PIB/habitant inférieur à xxx $, tout le monde ne peut pas avoir un PC chez soi, d’ou l’explosion des cyber-cafés. Du point de vue factuel, en gros, c’est tout ce que dit l’article (et c’était previsible). Mais à part l’utilisation similaire d’une technologie importée, il n’y a probalement pas grand chose à voir entre le Togo et le Mexique ...
echo bouton_block_invisible("message196790");
?>
> épisode 2,
le rédac-chef,
15 mai 2002
echo bouton_block_invisible("message197118");
?>
> épisode 2,
Jedi,
15 mai 2002
echo bouton_block_invisible("message210583");
?>
> épisode 2,
Lac ,
23 mai 2002
|