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Precision sur un nom cité dans l’article et sa qualité
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> Precision sur un nom cité,
Pascal Fortin,
10 mars 2002
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Jean-Claude Richez,
Jean-Luc RAYMOND,
16 mars 2002
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> Jean-Claude Richez,
Jean-Luc RAYMOND,
16 mars 2002
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A propos de NetAktiv
5 mars 2002,
message de jerome relinger
Bonjour, Vous avez écrit entre autre : "Il s’agit de Netaktiv, jeune pousse proche du Parti Communiste Français." A toutes fins utiles, sachez que NetAktiv est une SA dont les actionaires sont les salariés, et qui ne dépend que d’elle même. Que, parmi ses clients (ou l’on trouve d’ailleurs des cabinets d’avocats et des agences de voyages...) figurent des structures progressistes (dont le PCF, mais aussi la LCR ou Le Monde Diplomatique) ne doit pas vous permettre de conclure de notre "proximité". Enfin, le fait que des dirigeants de NetAktiv soient par ailleurs militants d’un Parti politique ne concerne que leur vie privée. Je reprendrait volontier la conversation avec vous sous cette autre casquette, mais je vous prie à l’avenir de faire un peu plus la part des choses. Bien cordialement, et en vous souhaitant bon courage dans votre travail, Jérôme Relinger
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> A propos de NetAktiv,
Pascal Fortin,
9 mars 2002
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Quelques commentaires de quelqu’un de Microsoft France
21 février 2002,
message de Guillaume Tourres
Cette tribune est un bon résumé en effet des mouvements qui existent autour de l’Internet citoyen. Même s’ils peuvent être critiqués sur certains de ces aspects, n’oublions qu’ils contribuent également à banaliser l’usage des nouvelles technologies et faire en sorte que le citoyen se les approprie. Les groupes, organisations ou associations, mentionnées dans cet article auraient tout à gagner dans un dialogue contructif avec le secteur privé et en particulier les fournisseurs de technologie dans leur réflexion sur l’internet citoyen. Sans reprendre le terme galvaudé d’entreprise citoyenne, je pense que tous les fournisseurs de techno qui contribuent également à développer L’internet et ses usages(que se soit une société nationale ou internationale) à un rôle à jouer dans les réflexions autour de cet Internet citoyen Je trouve dommage qu’ils soient souvent diabolisés, et exclus ou en tout cas pas les bienvenus dans les débats (exemple : autrans)
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QQ1 qui aime Bill Gates !,
Atchoum,
21 février 2002
C’est vrai qu’en rendant Windows + simple à utiliser, M$ a aidé au dévellopement du Web, ainsi qu’avec IE (malgré de nombreux bugs et qq trous de sécurité). Mais il est normal que vous défendiez votre gagne-pain. Après tout, il faut bien gagner sa vie ! Mais le contrôle ce ce type d’entreprise sur Internet et sur les surfeurs est dangereux. Il suffit de regarder .NET : ce système qui cherche à concentrer des infos personnelles sur des serveurs M$ représente un danger pour les internautes et leur vie privée.
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> QQ1 qui aime Bill Gates !,
Guillaume Tourres,
25 février 2002
Bonjour M. Atchoum (ou Mme) « Les motivations de Bill Gates ne vont pas très loin : gagner le + de fric possible » « .NET : ce système qui cherche à concentrer des infos personnelles » 1- Il ne s’agit pas forcément de serveurs Microsoft. L’entreprise a annoncé sa volonté de travailler avec des sociétés tierces considérées comme des tiers de confiance par les internautes (des organismes bancaires par exemple) Pour finir, mon intervention précédente avait pour but de dire que je trouve que les entreprises ne sont pas assez impliquées dans les débats autour de l’internet citoyen, et aucunement de faire l’apologie de Bill Gates ou de Microsoft. |
> Topologie sommaire de l’i
21 février 2002,
message de Brice
N’étant que vaguement internet et pas militant libertaire, j’ai apprecié cet article car découvert les acteurs de l’internet citoyen. A la lecture des réponses d’Arno et de Rick, je vous dirai : il s’agissait d’un tableau général mais vous êtes tellement dans votre sphère que vous avez des réactions passionnelles. |
> Topologie... : Une illustration concrète
15 février 2002,
message de Rick Deckard
Je trouve particulièrement sévère avec ce que vous apellez la nébuleuse anarchiste et bien tendre avec le FING.Pourtant le FING est quelque peu suspect non ? Une bonne illustration pourrait être ce séminaire organisé par Transfert.net, (le magazine sur l’utopie néo-technologique en association avec le Fing)ou encore la liste de ses nouveaux adhérents : ou de quelques uns de ses anciens:Aol, Vivendi publishing etc... ou comment la nouvelle génération s’approprie les "nouvelles techno". Je pense qu’on peut compter sur ces entreprise pour démystifier la cette "boite noire" de la technique informatique. Car oui, le but de ces entreprises est de nous éduquer, de nous donner les moyens de comprendre et de maîtriser notre environnement technique... Tandis que ces dangereux anarchistes avec des couteaux entre les dents... en ligne : Du site Internet au portail citoyen
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> > Topologie... : Une illus,
18 février 2002
Bonjour, Rick Deckard écrit : Je trouve particulièrement sévère avec ce que vous apellez la nébuleuse anarchiste et bien tendre avec le FING. Si vous saviez mon bon monsieur toute l’affection que je porte pour la FING ! Plus sérieusement, je crois avoir répondu à Arno* concernant ce soupçon de mépris au sujet de l’internet de tendance libertaire. Mais à votre avis, si je le méprisais tant que cela, cet internet-là, croyez-vous que j’aurais posté mon article sur uZine ? Surtout que je suis un récidiviste ! ce ne sont pourtant pas les sites d’autopublication qui manquent. Sûr que je dois être un peu mazo quand même. PF ;-)
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>FING,
Jacques-Francois Marchandise,
12 mai 2002
Bonjour, Je trouve le papier de Pascal Fortin très intéressant, factuel et éclairant. Quelques précisions rapides après la réaction de Rick et à la réponse de PF "Sans rire, j’adore les "fondations indépendantes" financées par les multinationales et officiellement soutenues par les pouvoirs publics. Si si, je vous assure ! ". Je trouve normal que la Fing aie à répondre de ses engagements et de l’utilisation des fonds publics, je m’y colle volontiers. La Fing a l’air bien grande vue du dehors ; mais elle a le budget de la charcuterie du coin de la rue. De quoi payer normalement une équipe à temps partiel, qui produit du boulot pour la collectivité. La quête aux subventions n’est pas un sport très agréable, et ce n’est pas parce que Matignon décide de "soutenir" qu’il y a des sous ; à l’arrivée, elles pèsent environ 15% d’un budget qui est de l’ordre de 300 000 à 400 000 euros. Le reste de nos financements vient des adhésions des membres : pour moitié, des membres d’essence publique, collectivités territoriales, CNC, INRIA, Caisse des dépôts etc ; pour moitié, des entreprises ou organisations adhérentes, voire des individus. Les 120 membres actuels ont un droit de vote qui ne dépend pas du montant de leur cotisation, heureusement. Tous leurs collaborateurs peuvent participer à nos travaux, qui sont tous publiés. En réalité, le fonctionnement est plus ouvert, des chercheurs non-adhérents, par exemple, étant bienvenus parmi nous. Les homologues de la Fing à l’étranger ont des budgets 20 à 100 fois plus gros. C’est parce qu’ils émanent directement d’entreprises, ou de structures publiques. Et aussi parce qu’en France on a du mal à comprendre l’idée d’un effort collectif. On reste dans le jeu de rôles, les gouvernants gouvernent, les entreprises s’occupent de pognon, les chercheurs de recherche, les contestataires de contestation et les donneurs de leçons de donner des leçons. Dans d’autres domaines, comme l’environnement, ce jeu de rôles a fait de sérieux dégâts. C’est difficile de demander à des acteurs économiques (et à des acteurs de pouvoir) de se mettre autour de la table avec des préoccupations d’intérêt général. Certains diront que c’est impossible, puisque ces acteurs ne cherchent que le profit à court terme, et puisqu’on constate qu’ils sont principalement présents dans des lobbies. Il nous a paru nécessaire de tenter le coup, en s’appuyant sur les gens et pas sur les structures, et en favorisant un équilibre entre l’économique et le non-marchand, dans les membres comme dans les thèmes. En réalité, les acteurs les plus disposés à travailler ensemble sur les usages futurs de l’internet sont ceux qui s’intéressent aux usages non-marchands, santé, éducation, culture, ... : ceux du commerce et des services ont souvent l’impression de déjà tout savoir (enfin ils se calment un peu...). Par ailleurs, les acteurs territoriaux ont besoin d’essayer d’y voir clair à cinq ans. Alors oui, nous avons des financements institutionnels et privés. La recherche en a. Les acteurs du monde du handicap en ont. L’art contemporain ou la littérature contemporaine ne vivent que comme ça, car le marché est inopérant sur tous les champs d’utilité publique, car nous ne sommes plus au temps des fortunes personnelles, et car le bénévolat a des limites. La seule question qui vaille est "quelle aliénation en résulte". Par ailleurs le développement (ou la survie) du Limousin, par exemple, passe notamment par les acteurs institutionels et par les acteurs économiques, il ne seraiit pas très malin de ne pas les sensibiliser. Il passe aussi et surtout par les humains, leur lucidité, leur compétence, leur connaissance mutuelle et leurs engagements. La Fing est donc l’un des acteurs de "mise en réseau". la vocation de la Fing est certainement d’armer les acteurs de la société pour qu’ils deviennent acteurs des évolutions liées aux technologies, au lieu de les subir purement et simplement. Sur différents sujets (les "cartables électroniques", la mobilité, ...) nous tentons de rassembler des acteurs hétérogènes et de sortir du simplisme "offre de produits et de services à des consommateurs", pour proposer une vision plus ouverte et plus active du réseau. Selon la façon dont on l’approche, l’éducation pose des questions de commerce ou d’échanges humains, pour le commerce personne n’a besoin de nous. En revanche pour réfléchir sur les approches éducatives et pédagogiques, pour recenser et analyser les expériences, on peut être utiles. la Fing est davantage orientée vers la "R&D des usages" que vers le militantisme associatif, que nous pouvons avoir par ailleurs. C’est donc une structure qui n’a pas d’opinion, ça change des lobbies, et qui a un principe directeur, l’attachement aux standards ouverts de l’internet. On se rend facilement compte que cette notion n’est pas si consensuelle, et que l’internet de demain peut très bien être "à deux vitesses", les acteurs économiques dominants pouvant choisir de laisser tomber le web actuel et de privatiser intégralement un réseau haut de gamme. Quand AOL a payé sa cotisation (au prix le plus bas, sans doute pour voir), je me suis demandé de quel malentendu il s’agissait... Quand les hauts débits et les projets d’internet mobile voient les opérateurs tenter de prendre le contrôle du réseau, installer leurs kiosques, décider de la géographie du territoire, nous mettons de notre côté l’accent sur les dynamiques du "premier kilomètre", sur l’intérêt des réseaux sans opérateurs (avec ou sans fil) et des infrastructures neutres (à la suédoise). J’arrête là. Mais à votre disposition pour répondre aux questions ou critiques. Pour bien faire, la Fing devrait s’ouvrir davantage et s’expliquer mieux. Il fallait commencer par exister. jfm |
Sans dieu ni RAS ?
14 février 2002,
message de ARNO*
Salut, Je démarre la discussion, dont je ne doute pas qu’elle va être chargée... D’accord avec la première partie du texte. En revanche, la seconde partie (le web contestataire) est une vue du Web indé par le prisme curieusement réducteur d’IRIS. Comme toujours, pour chipoter, je tique sur le terme « contestataire », puisqu’il signifie la contestation d’un ordre établi. Or, l’« ordre établi », sur l’internet, est celui d’une norme de comportement plutôt positive ; c’est au contraire l’internet « institutionnel » qui tente de modifier la norme. Sauf à être expliqué, ce terme risque donc d’induire l’idée que ce mouvement tente d’imposer une « nouvelle » norme (gauchiste, idéologique, pas pragmatique, irréalisable et tout le toutim), alors que cette norme (une relative liberté) préexiste. Les termes « contestataires » et « alternatifs » sont utilisés par nos adversaires comme arguments d’autorité (puisqu’ils défendraient un modèle déjà réalisé que nous contesterions, alors que c’est exactement le contraire). La présentation de « la mouvance de tendance anarchiste » est factuellement relativement bonne, en revanche le choix sémantique est particulièrement tordu. « Mouvance de tendance anarchiste », « nébuleuse de tendance libertaire », « "spontanéo-bougisme" vaguement libertaire », franchement, le factuel est perturbé par un jugement de valeur visiblement négatif. Certes, autant de termes qui pourraient plutôt témoigner de la difficulté à définir un mouvement uniforme et lisible (« nébuleuse », « vaguement », « tendance »... signifiant la difficulté d’une définition évidente), m’enfin plutôt qu’un aveu d’impuissance du locuteur à définir un objet de manière rapide, cela implique beaucoup plus un jugement négatif et réducteur. « Anarchiste » est évidemment très mal choisi, puisqu’il implique un choix politique clair, qui n’est pas du tout commun à tous ces acteurs (le texte le reconnaît même rapidement, en admettant que certains ne sont pas « non-marchands », et même « qui ne découlent pas nécessairement du partage d’une sensibilité politique commune »). « Libertaire » est meilleur, puisque son double sens met en avant le véritable point commun (la liberté d’expression) sans exclure l’option politique d’une partie des acteurs. De fait, le choix de « anarchiste » pour immédiatement pointer sur ce qui n’est ni politique ni non-marchand dans ce mouvement induit la dénonciation d’une immaturité politique (puisque se désignant comme anarchiste sans en connaître le début de commencement de la théorie...). Là encore, la difficulté du locuteur à désigner la diversité d’un mouvement se transforme en dénonciation, via la contradiction des termes, de l’incohérence de ce mouvement (puisque ce sont des anarchistes sans sensibilité politique commune qui font du marchand !). Foutre une tendance « libertarian » dans la catégorie « anars » est tout de même gros comme une maison. Voir l’EFF dans uZine 1 (mars 97). La tendance libertarienne en France a été ultraminoritaire et particulièrement courte ; et systématiquement dénoncée par tous les autres. Puisque, de toute façon, toutes les méthodes et les préconisations des libertariennes sont celles des « institutionnels » (qui, pour certains, sont directement issus de ces libertarians). Sauf à croire que les libertarian sont des gauchistes néo-libéraux, ce qui est faux (ce ne sont pas trois surfeurs californiens un peu cons, loin de là, ce sont d’énormes think-tanks conservateurs qui ont inventé un nouveau marketing politique pour la droite américaine). Toujours traduit très maladroitement dans le choix des termes, énorme confusion entre agit-prop, pratique populaire (la praxis chère à Lirresponsable) et coup médiatique, fondus et réduits à « spontanéo-bougisme » carrément folklo. Du coup, la séparation selon cette classification entre des « anars faute de mieux » et IRIS/RAS est totalement artificielle. Puisqu’il y a d’un côté des « anars-anars », des « anars pas anars puisque pas politiques », des « anars pas anars parce que marchands », et de l’autre de cette séparation les « pas anars parce que pas anars ». Découpage par défaut, qui du coup déshabille sévèrement IRIS/RAS, puisque l’autopublication, les logiciels libres et les moyens techniques ne les concerneraient pas ! (je suppose que ça n’est pas le but). Toujours dans le découpage qui induit des déshabillages regrettables : ce qui définirait IRIS/RAS (outre le fait de ne pas être anarchiste), ce serait « une double expertise complémentaire dans le domaine de l’internet : technique et juridico-politique ». Merci pour les autres, qui font donc de la promotion de l’autopublication, du logiciel libre, des moyens techniques, mais sans expertise technique ni juridique. La contradiction est évidente. Au final, la distinction est clairement artificielle, et introduit des contradictions logiques énormes, qui déservent la pédagogie du texte. La seule impression qui reste, donc, c’est que d’un côté il y a des rigolos folkloriques, de l’autre une association chiante et hiérarchisée. Je doute que ce soit le but de l’article... L’intérêt de la distinction n’existe que dans le cadre d’une présentation lors d’une rencontre IRIS/RAS, où il est peut-être intéressant pour IRIS/RAS de se « positionner » par rapport aux autres ; hors de ce cadre, c’est affreusement réducteur. Amicalement
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Sans dieu avec RAS et uZine !,
Pascal Fortin,
15 février 2002
Salut Arno* Je démarre la discussion, dont je ne doute pas qu’elle va être chargée... C’est pourquoi je vasis essayer de faire court... pour ne pas trop encombrer :-) D’accord avec la première partie du texte. En revanche, la seconde partie Sincèrement je ne le pense pas et je vais essayer de t’expliquer pourquoi. Comme toujours, pour chipoter, je tique sur le terme « contestataire », Cela ne t’étonnera si je te dis que je suis d’acord avec toi dans le cas précis de l’internet. Par contre, La présentation de « la mouvance de tendance anarchiste » est Je comprends parfaitement que mes propos puissent susciter ce type d’interprétation. Pourtant, cela « Anarchiste » est évidemment très mal choisi, (...) « Libertaire » est meilleur, Pourtant, lorsque je consulte mon bon Robert (ed.1985), je lis à "libertaire" : V. Anarchiste. De fait, le choix de « anarchiste » pour immédiatement pointer sur ce qui Encore une fois, j’ai la nette impression que tu surinterprêtes mon propos. Foutre une tendance « libertarian » dans la catégorie « anars » est tout Sur le caractère ultra-minoritaire de la tendance libertarienne en France, on est d’accord. Toujours traduit très maladroitement dans le choix des termes, énorme En l’occurence, tu m’attribues à tort l’expression de "spontanéo-bougisme" alors que je l’employais Du coup, la séparation selon cette classification entre des « anars faute OK. des « anars pas anars puisque pas politiques » OK. , des « anars pas anars parce que marchands » Non, en l’occurrence, des "anars mais pas non marchands" seraient plus justes. , et de l’autre de cette séparation Je précise pourtant en fin d’article que, par-delà leur divergence, le binôme RAS-IRIS et le net Toujours dans le découpage qui induit des déshabillages regrettables : ce Non bien sûr. D’ailleurs, tu ne retiens de mon propos que les termes qui peuvent contenir une Au final, la distinction est clairement artificielle, et introduit des J’espère t’avoir convaincu que ton analyse repose sur une interprétation qui ne correspond ni à mes Amicalement, Pascal. PS : Bon, je ne suis pas sûr que je répondrai aussi précisément à tous les commentaires. Sinon, je
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> Soupes,
18 février 2002
Vous discutez bien, mais en fait de vaguement anarchisants et autres qualificatifs, c’est le vaguement qui est déja trop précis. Quand le candidat du PC (vaguement pas anarchisant) les invite a partager une soupe démocratique pour parler de l’internet, ils y vont sans se faire prier. Peut être y verront-ils Beig... Et ça, à coup sûr, c’est très peu anarchisant.
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> > Soupes,
Pascal Fortin,
18 février 2002
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> Sans dieu ni RAS ?,
bruno berthelet,
3 avril 2004
Bonjour, |