|
|
|
|
|||||||||||||||||||
|
|
> Charlie Hebdo aime le Minirezo
1er novembre 2003
Je soutiens sans conditions Monsieur Moreau. L’attitude de Charlie est décevante, même si les moyens manquent, s’il faut aller vite, c’est un journal d’ordinaire si lucide... Et comme si besoin était la morale est là, toujours la même, rien ne semble plus possible sans enfreindre les règles, sans faire, même si c’est dans une moindre mesure, ce que l’on critique. Et c’est encore toujours plus démuni de recours, de moyens de se défendre, de faire valoir ses droits qui casque... |
> Charlie Hebdo aime le Min
echo bouton_block_invisible("message302707");
?>
> Charlie Hebdo aime le Min,
15 février 2004
Ne t’emmerde pas avec charlie hebdo ! C’est devenu une merde considérable. en ligne : http://plpl.org
|
copyright ou copyleft : Respecter l’intention de l’auteur.
25 novembre 2000,
message de Séverin
Puisque tout le monde donne son avis, et que le mien n’a encore été exprimé par personne, je suis bien forcé d’intervenir :-) Personnellement JE RÊVE PARFOIS qu’internet devienne, entre autre, une bibliothèque universelle où on puisse trouver dans toutes les langues tous les romans, tous les essais, tous les articles de journaux, tous les morceaux de musique, toutes les bandes dessinées, toutes les émissions de radios, tous les films, tous les romans de SF en version audio, tous les logiciels, tous les documentaires, tous les manuels, tous les cours en version texte et audio, toutes les thèses, tout l’art, et même pourquoi pas, tous les brevets industriels histoire de remettre un peu les compteurs à zéro entre les pays riches et les pays pauvres. Quand je dis "tous" c’est une façon de parler pour dire "au moins tous ce qu’il y a d’intéressant". C’est dès aujourd’hui techniquement possible à moindre coût. Cela étant dit, IL EST INDISPENSABLE DE RESPECTER L’INTENTION DE L’AUTEUR pour des raison d’éthique ou de commerce. Un auteur qui publie sur un site en accord avec ses idées n’aura pas forcément envie de voir son texte repris (récupéré) par un groupuscule sectaire. Un auteur qui est payé pour être publié sur un site qui comporte des bandeaux publicitaire peut considérer qu’en reproduisant un texte de lui sur un autre site on détruit le modèle économique de son employeur et que le met à terme et indirectement sur la paille. LE COPYLEFT : UNE SOLUTION ALTERNATIVE Pour ma part je conseille aux auteurs d’adopter une licence "copyleft" en ajoutant à la fin de leur texte "copyright [nom de l’auteur] [date]. Reproduction conforme et inrégrale autorisée à condition de conserver cette notice". Chaque auteur peut également personnaliser son intention : "autorisé dans un but non commercial", "autorisé uniquement sur le net", "autorisé uniquement sur les sites sans publicité", "autorisé uniquement sur les sites ne publiant que des documents copyleftés", "autorisé à condition d’indiquer l’url de la page original et du site d’origine"... Ainsi les auteurs peuvent faire connaître largement leur oeuvre, soutenir les médias indépendants et enrichir le fond mondial d’oeuvres libres en tout genre. Leurs oeuvres sont alors libérés des contraintes classiques de diffusion imposés par des éditeurs aux mains de multinational ou indépendant mais trop pauvre pour s’intéresser à vous. EN COPIANT LES LOGICIELS PROPRIETAIRES LES PLUS POPULAIRES, on ne fait que préserver leur audience et leur quasi-monopôle. Indirectement les entreprises publics ou privés vont utiliser les mêmes logiciels mais en les payant très cher. Il est plus souhaitable d’un point de vue éthique d’essayer de migrer progressivement vers des solutions utilisant des logiciels libres. De la même façon copier de la musique en téléchargeant des MP3 n’est pas une solution efficace pour concurrencer les éditeurs. Certe Gnutella et les autres logiciels de partage de fichiers contribuent à déstabiliser Universal Vivendi et les autres, et quand on les connait, on ne peut que s’en réjouir. Mais on aurait tort de penser que cela suffira à modifier l’organisation actuelle de la diffusion de la culture. Pour les concurrencer, la meilleure solution me semble là encore de promouvoir de la musique libre, c’est à dire copyleftée et donc irrécupérable par les grandes majors. Et pour l’instant les échanges illégales de MP3 ont plutôt tendance à favoriser les musiciens déjà ultra-médiatique. EN CE QUI CONCERNE LE CAS DES TEXTES DE MICHAEL MOORE : Il est évident qu’il ne les pas écrit en espérant gagner de l’argent mais plutôt parcequ’il avait un besoin urgent de s’exprimer. Il est également évident qu’il doit être plutôt heureux d’avoir été publié dans Charlie Hebdo et de présenter aux français une autre image des Etats-Unis. Mais en respectant strictement l’intention de l’auteur, c’est à dire copyright classique ici, il n’est pas correct de reproduire un texte sans son autorisation. Et Charlie Hebdo a donc droit à un blam. Mais cette affaire illustre qu’il aurait été plus pertinent pour Michael Moore de publier ses textes en utilisant une licence "copyleft". Parceque son intérêts dans cette histoire est bien de faire connaître le plus largement ses idées et ses textes. Il est à mon avis beaucoup trop contraignant de demander, à chaque fois que l’on veut reproduire un texte, l’autorisation de son auteur. Alors SVP publiez vos textes en copyleft, même vos textes sans prétention, et en toute modestie. EN CONCLUSION : Ne copiez pas une oeuvre contre l’intention de son auteur.
Merci de m’avoir lu jusqu’ici. A+ Copyright Séverin Tagliante Novembre 2000. Commentaire posté sur www.minirezo.net. Reproduction conforme autorisée sur tout support sans publicité commerciale et à condition de conserver cette notice.
echo bouton_block_invisible("message335");
?>
> copyright ou copyleft : Respecter l’intention de l’auteur.,
25 novembre 2000
|
> Charlie et le Web, c’est pas ça !
24 novembre 2000,
message de Ficelle Costard
Je n’ai pas lu Charlie cette semaine, donc je ne sais pas s’ils ont précisé que la lettre d’adieu de Gabriel Garcia Marquez, diffusée par internet et reproduite dans Charlie, était un faux, une jolie arnaque, signée par un marionnettiste ventriloque mexicain (donc habitué à s’exprimer à la place des autres...) Marquez reconnaissant l’existence de dieu c’était pourtant louche, non ?
echo bouton_block_invisible("message326");
?>
> Charlie et le Web, c’est pas ça !,
24 novembre 2000
|
> Charlie Hebdo aime le Minirezo
22 novembre 2000
Sans doute la pratique de Charlie Hebdo n’est elle pas très honnête. Il convient cependant de constater qu’elle profite davantage à Minirezo dont j’ignorais l’existence avant la lecture de cet article et que je consulte depuis, et bien sûr à Michael Moore pour qui on ne fera jamais assez de promotion. Alors bon, cela vaut-il la peine de mettre les avocats au travail ? |
> Charlie Hebdo aime le Minirezo
echo bouton_block_invisible("message288");
?>
> Charlie Hebdo aime le Minirezo,
jean-pierre,
17 novembre 2000
echo bouton_block_invisible("message301");
?>
> Charlie Hebdo aime le Minirezo,
lf,
19 novembre 2000
Charlie a souvent défendu le net ( notamment via mona chollet) independant. Ce problème de droit d’auteur ou de traduction (?) me semble quelque peu minime pour un texte dispo gratuitement sue le net ! Je trouve idiot de se bouffer le nez alors que l’esprit de charlie et du minirezo sont quasi identique.
echo bouton_block_invisible("message304");
?>
> Charlie Hebdo aime le Minirezo,
19 novembre 2000
Bonjour, Certains articles du Monde, de Libé ou d’autres journaux sont disponibles "gratuitement" sur le net. Ce qui n’autorise personne à les reproduire sur son propre site, ou dans un autre journal : vous imaginez Libé reproduisant une chronique de Pierre George (du Monde) sans lui demander son avis, parce que la rédaction de Libé le trouve intéressant ? Non. Et bien, c’est la même chose sur Internet. Philippe Moreau.
echo bouton_block_invisible("message307");
?>
> Charlie Hebdo aime le Minirezo,
davido,
21 novembre 2000
Pas d’accord, Charlie n’a jamais réellement défendu le net. En 1996, Philippe Val publiait un édito dans lequel il faisait une agrégation entre pédophiles, nazis et internautes. Choqué par une attitude aussi consensuel (à l’époque), je mis sur le compte de l’ignorance l’avis de Ph. Val. Je pris mon clavier pour lui envoyer un courrier didactique et pédagogique expliquant la structure et les différents aspects d’internet. Je dénonçais entre autre l’amagalme fait entre les personnes mals intentionées et les serveurs qui les hébergeaient. Mon courrier a été publier dans le courrier des lecteurs sans mon autorisation (il était adressé à Philippe Val et non au journal) en utilisant le principe des "...". Il était tourné en dérision avec comme titre "Monsieur je sais tout sur un internet nous écrit" et le commentaire n’était pas mon sacarstique. La direction prise par Charlie et son vénéré redac’chef est des plus inquétante (cf La vache folle), l’attitude quasi fanatique de Ph. Val sur certains sujets (kosovo entre autre) et sa position dictatorial au sien du journal transforme ce jadis vénérable canard en torchon malsain et déplacé.
echo bouton_block_invisible("message312");
?>
> Charlie Hebdo aime le Minirezo,
Fulbert Boussaton,
21 novembre 2000
D’accord et pas d’accord ! Il serait normal que Charlie demande une autorisation préalable à une publication, c’est la moindre des choses ! J’ai lu la colonne de Michael Moore avec plaisir (même si je l’avais déjà lue sur son site) mais sans savoir qu’elle avait été "volée". Ca ne diminue pas le plaisir mais ça m’embête quand même.
echo bouton_block_invisible("message303619");
?>
> Charlie Hebdo aime le Minirezo,
Boussaton Stéphane,
29 juin 2004
boujour excusez moi de repondre a coté de votre article mais en cherchant dans mon arbre généalogique je suis tombé sur é vous etes un de mes cousins éloigné. C’est pour cele que je vous écris car jaimeré savoir se que vous etes devenu et pour voir une autre façette de notre. Merci d’avance de répondre a cette demande a ladresse suivante marie-christine.boussaton@wanadoo.fr (l’adresse de ma mere) P.S : escusez moi pour les fautes d’ortographes
echo bouton_block_invisible("message313");
?>
> Charlie Hebdo aime le Minirezo,
fl,
22 novembre 2000
Quand j’ais dis que charlie a defendu le net je parlais de l’attitude de journaliste comme cholet ou cyran. Je ne lis plus les editos de val et j’essayes d’ignorer son influence sur le contenu du journal meme si son "integrisme" ( avec des tres gros guillemets quand meme ) et sa quasi absence d’humour et d’autocritique planent sur l’esprit du journal. Quand aux attaques ponctuelles de charb sur le cul sur internet et de marris ( onc bernard) sur le mercantilisme du net, elles sont +tot salutaire. Pour le fond je reste convaincu que la diffusion du texte de moore avec quand meme l’indication de son site et de celui du minirezo est une bonne chose. L a manière ( donc la forme ?) elle il est vrai discutable. Mais bon, Luce Lapin avait peut etre d’autres chats ( et chiens) à fouetter.... pour faire respecter les "usages".
echo bouton_block_invisible("message322");
?>
> Charlie Hebdo aime le Minirezo,
24 novembre 2000
Bonjour, Amitiés,
echo bouton_block_invisible("message350");
?>
> Charlie Hebdo aime le Minirezo,
Jérémie Couston,
28 novembre 2000
Lecteur de Charlie depuis 2 ans, c’est, moi aussi, grâce aux articles de Mona Cholet que j’ai découvert le web indépendant en général et le minirezo en particulier. Il me semblait que ces deux médias appartenaient à la même famille (de gauche militante). A lire la prose fielleuse de certains participants à ce débat, je doute. Je sais combien les relations familiales peuvent être tendues, mais là j’hallucine ! Traiter Philippe Val d’intégriste alors qu’il est un des rares journalistes indépendants et humanistes en France ! On a le droit bien entendu de ne pas partager ses prises de positions, mais ne vous trompez pas de cible. Quant à Charb, ses colères sont aussi la plupart du temps salutaires et en tout cas toujours respectueuses du genre humain. Encore une fois, on peut ne pas être d’accord intellectuellement, mais éthiquement, rien à redire. Pour le cas de la chronique de Michael Moore, je rejoins l’avis de Séverin sur le copyleft. La mention de l’auteur et celle de la source est indispensable quand on n’a ni le temps ni les moyens d’obtenir l’autorisation. Le dernier paragraphe pour Philippe Moreau (celui par qui le scandale arriva) : Jérémie |