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> « Les temps modernes » du journalisme
24 juillet 2009,
message de Gorane
bonjour, |
Une profession en mal d’expression...
3 décembre 2002,
message de fiso
... à l’image de la société, Et c’est pas un scoop. Au pire, "revêtons nos préjugés, ils nous tiennent chaud". Voilà TOUT. |
> « Les temps modernes » du journalisme
14 mars 2001,
message de Arnaud
Je trouve que la plupart des arguments développés dans cet article, s’ils ne sont pas très nouveaux, tiennent plutôt la route. Mais il est un passage qui m’escagace joyeusement : "dans les écoles de journalisme le mythe des grands reporters ou des journalistes d’investigation s’est largement effondré pour laisser la place à ceux que le statut de la société médiatique fascine. La dernière aventure humaine consisterait plutôt à côtoyer Jean-Luc Delarue" Je ne veux pas me faire le défenseur aveugle et systématique des écoles de journalisme,mais c’est vraiment un cliché grotesque. Dans les écoles, on trouve des cons admirateurs de PPDA et Laurence Ferrari et des gens fans des modèles Albert Londres-Truman Capote-Hunter Thompson-Tom Wolfe-Serge Daney-MondeDiplo-JP Dionnet-Pulitzer-Watergate et même des fans du MiniRezo, figurez-vous ! La vie, quoi ! certains finiront à TF1, d’autres au Fig Mag, d’autres à Charlie, d’autres à Auto Magazine ou l’Union de Reims... Equilibré tout ça, y a pas de complot... On peut dénoncer le fait que les journalistes se pompent, se repompent et clichetonnent à mort, mais il ne faut pas à son tour reprendre des clichés éculés et branchouilles (un comble !) pour le simple plaisir de dénoncer le "système". Sinon, l’article est très bien, hein... Amitiés Arnaud
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> « Les temps modernes » du journalisme,
soub,
14 mars 2001
Le paragraphe sur les écoles de journalisme repose notamment sur une étude réalisée par un sociologue des médias, sur les motivations des candidatures dans ces écoles. Je ne dis pas qu’il n’y a que des admirateurs de PPDA mais que les motivations des candidatures ne font quasiment jamais référence à ces mythes, surévalués ou non d’ailleurs...Evidemment que c’est un peu caricatural que de le résumer ainsi. Mais sortant d’une de ces écoles, c’était aussi un constat des enseignants, qui voyaient évoluer en ce sens les élèves qu’ils avaient(moins d’initiatives dans les reportages, volonté de maîtriser les aspects techniques de la présentation et de l’animation, fascination pour le monde des médias). Quant à l’allusion au complot, tu t’égares, elle n’est pas chez moi... en ligne : at
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ath,
3 août 2001
Les temps modernes du journalisme. Ah c’est une bonne titraille. J’ai fais une école. C’était pas mal mais là bas, on ne m’a pas dit la galère dans laquelle je mettais les pieds.Je pensais qu’après une école, j’allais trouver un bon job. Hé ben, non ! Mais bon, j’étais motivée pour faire des études de journalisme. PPDA, Ockrent (je l’admire)... c’est la crème de la crème. Et en pensant à eux ça me fais avancer. En plus en ce moment c’est la grosse galère, je suis en presse hebdo et question heures supp. (je travaille au moins 70 heures par semaine. Que dois je faire pour limiter les dégats ? Payée à 6500 F. Je suis très déçue mais je garde quand même la foi. Informer les gens c’est ma passion, c’est ma priorité. Même si je le reconnais, certaines institutions m’ont empêché parfois de dire ce que je voulais. Et pour en revenir aux écoles. Je pense que certaines grandes écoles sont plus fiables que d’autres. Mais y apprend-on réellement le métier. |
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13 mars 2001,
message de Grosse Fatigue
L’allusion à la production fordiste et à Chaplin me paraît un peu infondée. Je pense (partageant en fait les observations), que tout cela est dû à la pléthore de l’offre et à sa segmentation, plus qu’à la médiocrité intrinsèque des magazines. Sur la médiocrité : rien de nouveau. Les magazines sont médiocres depuis longtemps, la grande nouveauté, c’est qu’ils sont de plus en plus nombreux à être sur le même créneau. Autrefois, par exemple, on pouvait lire Le Point, L’Obs, L’Express. Chacun d’entre eux avait une ou plusieurs vertues. Aujourd’hui, ces trois-là ne forment qu’un, et doivent avant tout plaire aux annonceurs. Politiquement corrects et racoleurs, ils sont concurrencés par les deux torchons issus de l’imagination torride de JFK : L’EDJ et Marianne. Voilà pour les exemples. Il n’en reste pas moins que, comme autrefois, on trouve des magazines de qualité qui ne tiennent pas vraiment compte des schémas obligatoires cités ci-dessus. On peut les citer, il y a le Diplo, mais son diminutif fait à la fois penser à son vrai nom et à sa caricature jurrassique. Il y a sans doute Courrier International, et une foule de magazines spécialisés... Mais le mieux, c’est quand même la revue de mes états d’âme... en ligne : La revue de mes états d’âme
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Pierre Madrid,
13 mars 2001
Hé grosse fatigue pour la liste des magazines on aurait voulus que tu en Bon je suis d’accord avec toi grosse fatigue car dans tes états d’ames, il Tu veux que je te dise, les journalistes, ils sont ailleurs que dans les Si vous trouvez où vous gagnez un poste radio, allez peut être même une Bisous à tous. Pierre Madrid
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Arnaud,
14 mars 2001
Salut, Et pis, Courrier International, excuse moi, comme nouvelles fraîches, y a mieux : ce n’est que du repompage de la presse étrangère ! Alors bien sûr, le principe est futé et bien mené, mais ça joue aussi beaucoup sur la répétition des traitements d’actu par la presse mondiale (les Ricains parlent de choses qui nous touchent, donc a priori sur lesquels les médias français ont déjà écrit et c’est illustré par un dessin péruvien, qui donc illustrait un article sur le même sujet ! le serpent se mord la queue) Je ne pense pas que le rédacteur de cet article pense qu’il y ait beaucoup d’aventure journalistique dans le CI. C’est du bon desk, mais la quintessence du desk. A
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Robin,
15 mars 2001
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Vince,
7 juin 2001
Salut J’écris pour dire que la presse publie que des choses qui intéressent soi-disant les gens, comme les guerres ou les procès de meurtrier. Alors que pendant ce temps, des milliers d’inconnus font le bien partout dans le monde, et on n’en parle pas. C’est dommage, et je suis sûr que ça nous intéresserez plus. Au-revoir et contactez moi sur :
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Nescio,
21 mars 2007
Bonjour, L’allusion à la production fordiste et à Chaplin me paraît un peu infondée. Je pense (partageant en fait les observations), que tout cela est dû à la pléthore de l’offre et à sa segmentation, plus qu’à la médiocrité intrinsèque des magazines. Sur la médiocrité : rien de nouveau. Les magazines sont médiocres depuis longtemps, la grande nouveauté, c’est qu’ils sont de plus en plus nombreux à être sur le même créneau. Autrefois, par exemple, on pouvait lire Le Point, L’Obs, L’Express. Chacun d’entre eux avait une ou plusieurs vertues. Aujourd’hui, ces trois-là ne forment qu’un, et doivent avant tout plaire aux annonceurs. Politiquement corrects et racoleurs, ils sont concurrencés par les deux torchons issus de l’imagination torride de JFK : L’EDJ et Marianne. Voilà pour les exemples. Il n’en reste pas moins que, comme autrefois, on trouve des magazines de qualité qui ne tiennent pas vraiment compte des schémas obligatoires cités ci-dessus. On peut les citer, il y a le Diplo, mais son diminutif fait à la fois penser à son vrai nom et à sa caricature jurrassique. Il y a sans doute Courrier International, et une foule de magazines spécialisés... Mais le mieux, c’est quand même la revue de mes états d’âme... FRANCHEMENT OU VA-T-ON.......... pour info, j’ai 51 ans et j’aimerais compter sur les média pour enquêter (par exemple) sur les "corporations étatiques" genre ASSEDIC (enquêter sur leurs "comportements" quand ils recoivent les chomeurs), L’ANPE, que font-ils ???? (des employeurs recrutent maintenant directement en se déplacant HE OUI....) Les PMEs par exemple (commerce) paient au SMIC a 8,27 EUROS - vous me direz "normal" et bien non ; la majorité fait 40 voir + de 40 heures la semaines (déclaré et non payé, ce personnel ne "bronche" pas - LE SAVIEZ-VOUS - MESSIEURS LES MEDIAS - Cela c’est pour le boulot. Maintenant ; fait de société - la pauvreté c’est installée (ET VOUS ?) Je viens de louer un appartement dans le même quartier dans lequel j’ai vécu il y a 28 ans - QUELLE PAUVRETE, J’AI MËME CROISE UN HOMME DE MA GENERATION QUI FAISAIT LA MANCHE - JE L’AI RECONNU, NOUS NOUS CROISIONS QUAND NOUS AVIONS 10-12ANS.....MOI QUI AI TOUJOURS EU BOULOT ET CHANGE d’ENTREPRISE REGULIEREMENT (c’est moi qui ai toujours quitté les boites)J’EN ARRIVE A AVOIR HONTE DE MA POSITION.......... AU SECOURS QUE FAIT VOUS ? ARRETEZ DE VOUS REGARDER LE NOMBRIL ........AVEZ VOUS OUBLIE VOTRE OU VOS ENGAGEMENTS........A QUAND LES APPELS AUX DECIDEURS DE CETTE NATION.......QUE FAIT VOUS........VOUS AVEZ OUBLIE........... RESAISSISEZ VOUS QUE DIABLE.......IL Y A NOMBRE DE SUJETS A TRAITER ET A PRESENTER A LA NATION - BOUGEZ VOUS......... VOUS PERDEZ DE + en + VOTRE CREDIBILITE (et rien que pour cela bougez vous - IL Y A DU BOULOT.........) SLTS |