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Infosloisirs
19 septembre 2003
Vous avez oublié de citer un city guide de Lyon : Infosloisirs Guide d’infos sur les loisirs de Lyon et sa région Une vingtaine de rubriques Agenda, chroniques, reportages photos, jeux/invitations en ligne : http://www.infosloisirs.net
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> Infosloisirs,
2 octobre 2003
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Qu’en est-il en 2003 ?
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> Qu’en est-il en 2003 ?,
7 octobre 2003
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> > La bataille des city guides : une réalité imagina
23 octobre 2001,
message de Robin
Bonjour L’affirmation mérite d’être claire. Mais, n’empêche, cela n’avance à pas à grand chose si on explicite pas le propos, si on n’explique pas pourquoi. Ce qui ne signifie pas que je ne suis pas d’accord. Mais pourrais-tu expliciter tes propos ? Cela m’intéresserait. |
> La bataille des city guides : une réalité imaginaire ?
18 mars 2001
Juste, c’est bien de préciser que Webcity s’est vendu à Carrefour et va proposer des contenus fortement marketing avec services liés à ce géant de la distrib, genre billeterie spectacles, location de véhicules etc... Quant aux pigistes, c’est stagiaires, étudiants et compagnie, pas de carte de presse. Lyon était déjà le théatre des opérations pour les versions papiers de city-guides, genre le petit Futé versus le Petit paumé, Libération Lyon, etc.. Pourquoi les médias choisissent-ils cette ville pour leurs expériences, est-ce que le lecteur "gone" est le meilleur media-cobaye existant ? Sylvie |
> La bataille des city guides : préparation du terrain
15 mars 2001,
message de sextus
J’ai bossé plus d’un an en qualité de responsable technique pour un ’’cityguide’’ Parisien. Tout d’abord pour ceux qui iront visiter l’URL : désolé pour la charte graphique mais il semble qu’on aime le top ringard dezign là bas, mais bon, à la rigueur c’est ’bien ciblé’,et je n’avais que peu de pouvoir pour ce qui était de la ’ligne éditoriale’.... Du fait que l’on parle de bataille : Mon passage dans cette entreprise qui existe depuis 1998 m’a appris quelques petites choses. Les fondateurs bossait auparavant dans la communication, ils vendaient de la pub sur des supports classiques. Ayant flairé la bonne affaire Internet et étant des purs ’titis parisiens’ dans l’âme vu de mon pauvre regard Bretono-Genevo-Toulousaing, ils ont décidé de créer leur propre support de communication (du coup ça n’est vraiment qu’un support). Parvenu ainsi au statut éditeur ET régie pub, l’affaire devient encore plus interessante. Bon, c’est bien beau tout celà mais que faire ? Ben oui, que faire ? La pub sur internet ça se vend de deux manières : suivant l’usage, c’est à dire avec support statistique à l’appui pour étayer l’impact de la communication, ou plus simplement à l’arrache. Probleme : n’empêche ça paye mais les investissements d’un développement digne de ce nom ne sont pas non plus inconséquents vu qu’on doit se tirer la bourre avec Dreyffus qui cartonne à Lyon et à Paris, sans CityVox ,qui n’existe pas encore. Donc duel de merde. Pendant ce temps, la sauce NASDAQ-superGoldBollocks monte comme il le faut, les esprits s’échauffent même chez les squamates et paf ! PriceWaterHouseCoopersLybrand (...no comment) nous contacte pour lever les pesetas pour developper tous les nouveaux services à la con. Services qui ne verront jamais le jour puisque je me suis barré juste après avoir rédigé le cahier des charges. Effervescence au bureau ! On va gagner des millions ! Mais non mais non, rien de cela suivra ils ne le savent pas, mais ils sont malins donc pas trop d’inquiétudes. Parmi ces fonds, CREDIT LYONNAIS, et mon boss, lui, il les aiment pas le CL because ils zont dû le faire méchament casquer deux-trois fois pour des vétilles. Alors il leur dit à PWC, parcequ’ils sont très courtois tout de même lorqu’ils vous enculent, ils vous demandent votre position préférée, et mon boss c’est tout sauf le CL sa pos. pref. Nouvelle couille : là vous comprendrez (peut-être) où je veux en venir. C’est qui se sont entendus les salopiauds, entre eux tranquillement, c’est CL ou rien en vérité. POURQUOI ? Les autres : Seeft Venture, Europ@web etc... ils ont déjà stratégiser leur portefeuille au niveau glocal. LE CITY-GUIDE n’est juste qu’une plate-forme de préparation à de nouveaux services financiers. Bref voilà c’est tout. Désolé pour la longueur. ps : si l’envie vous prend d’aller visiter le lien du site, ne le faîtes pas depuis cet article SVP,ça se saurait et j’ai encore un synthétiseur à récupéré dans cette société. merci d’avance. |
> La bataille des city guides : une réalité imaginaire ?
12 mars 2001,
message de Foxy
Une dizaine de "cityguides" sur Lyon même pour un terrain d’expérimentation, c’est au moins 8 de trop ! De plus, les 2 médias "purement lyonnais" (le quotidien " Le Progrès" et la TV "TLM") ont eux aussi leur site, leurs équipes de journalistes. Etant lyonnais et suivant plusieurs de ces sites (TLM, Le Progrès, WebCity) et ayant regardé un peu les autres nouveaux, on ne peut pas dire que les derniers arrivés fassent preuve d’une grande qualité de contenu. J’ai tendance à penser que les médias purement lyonnais l’emporteront car leurs équipes de journalistes et leur implentation historique font qu’ils sont largement au dessus des autres au niveau contenu et que cela reste le facteur essentiel de ce genre de site. Si de nombreux groupes ont envie de gaspiller des millions pour ne rien apporter de neuf, tant pis pour eux et tant mieux pour nous braves internautes qui rechercherchent la multiplicité des points de vue et des sources d’infos.
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> La bataille des city guides : une réalité imaginaire ?,
Robin,
15 mars 2001
Bonjour Foxy, Merci pour ton message. Il est clair - et tous les acteurs sur le terrain le reconnaissent - que plusieurs sites devront fermer à court ou moyen terme. Le ration nombre de sites/nombre d’Internautes est manifestement très faible. Pour autant, ce que tu appelles les médias traditionnels (Le Progrès, TLM) n’ont pas de véritable stratégie sur Internet. TLM n’a qu’un webmaster-journaliste pour développer son site. De ce fait, toutes les rubriques ne peuvent pas être mettre mises à jour. Et Le Progrès ne propose que des brèves AFP et des services, dont l’agenda culturel est sous-traité par un autre city guide qui est Lyon Poche. Par contre, M6Lyon offre un projet intéressant avec une véritable équipe qui s’occupe d’Internet. Il y a alors une offre complémentaire d’informations par rapport à la télé. Pour l’instant, tous ces sites tentent d’expérimenter leur modèle. A savoir si ce sont les acteurs traditionnels qui s’en sortiront, rien n’est moins sûr. Et je ne pense pas qu’il y ait trop sites à Lyon... toujours pour l’instant. Car, dans une phase d’expérimentation, il s’agit de tester un grand nombre de modèles qui seront validés ou non par les Internautes.
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>city guide,
26 février 2006
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