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> Pierre Carles continue le combat…
3 juin 2004
Bonjour en ligne : http://www.uzine.net/article544.html
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> Pierre Carles continue le
1er février 2002
à noter une interview de Pierre carles sur tout ces sujets dans la revue SPAM en ligne : site du spam
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> > Pierre Carles continue ,
ISABELLE BERNIER,
14 février 2002
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> > > Pierre Carles continu,
Olympe,
14 février 2002
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Dix raisons d’oublier Bourdieu
2 mai 2001,
message de Grosse Fatigue
1 - Bourdieu n’est pas sociologue. C’est un philosophe.
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> Dix raisons d’oublier Bourdieu,
Tiresias,
2 mai 2001
Et bien voilà, suffisait de le dire...Mais tu vas faire beaucoup de peine à des gens qui croient qu’ils pensent en pensant ce qu’ils croient, ça c’est terriblement agressif, ils vont t’en vouloir et croire que tu pense dans la croyance au lieu de croire dans la pensée. Enfin, tu prends tes responsabilités, mais j’ai rien a voir la dedans, qu’on se le dise.
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et vive l’astrologie !,
PRIVATE JOKER,
3 mai 2001
"Bourdieu n’est pas un sociologue. C’est un théoricien de la domination. On peut réduire sa pensée à ce simple concept, appauvrissant une oeuvre qui, parfois - par exemple avec la "Distinction" - mérite d’être lue car elle décrit le social, tout en s’empêchant tout jugement réellement critique. Car chez Bourdieu, relativiste absolu, tout se vaut. Voilà pour la stérilité. Arrêtons de faire, à partir de bons sentiments, un nouveau prophète." Et oui, un peu comme Elisabeth Tessier en somme, gnark, gnark... Dans pas longtemps, ça sera bien au Collège de France : "pour cette soirée hardtek, 1er set Tessier, 2ème Bourdieu", trop yes !
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> Dix raisons d’oublier Bourdieu,
8 mai 2001
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> Dix raisons d’oublier Bourdieu,
benoit,
8 août 2001
Très bien l’argumentation en 10 points, comme ça c’est aussi facile à lire qu’un résumé de film sur télé 7 jours : presque pas la peine de voir le film. Le point 2 est amusant par exemple : tu écris "Bourdieu est incompréhensible", et tu sembles cependant avoir tout compris, toi, vu l’assurance de ton argumentation "en 10 points" (le 1 et le 9 se ressemble un peu peut-être...). J’apprécie pas mal d’aspects des livres de P. Bourdieu (ceux que j’ai cru comprendre en tout cas), qui concernent les jeux autour desquels se tissent les relations de domination (et oui, ce "simple concept" dont tu sembles avoir fait le tour), selon les milieux, et comment les individus s’adaptent aux formes de domination, en fonction des attributs qu’ils peuvent ou savent mettre en avant... bref de toute façon je ne saurais pas exprimer ça en une phrase, mais j’ai trouvé quelque chose de fort dans ses livres au-delà du jargon qu’il utilise et qui m’échappe largement. En tout cas ça n’est pas un "prophète", son discours, qu’il semble vouloir traduire politiquement, contient en tout cas une vérité que les "gros et gras médias" ne souhaitent pas diffuser, et qui me semble, au moins pour cette raison potentiellement subversif - vérité qui le dépasse lui-même d’ailleurs. Il n’est pas le seul à écrire ou parler dans ce sens (les auteurs dans sa collection Liber, les gens du Monde Diplomatique, d’Attac etc...). Que les "gros et gras médias" le diffusent, si sa pensée est tellement "insignifiante", tout comme les films de Pierre Carles, sinon les gens seront obligés de s’appuyer sur des résumés aussi minables que le tien.
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> Dix raisons d’oublier Bou,
15 février 2002
Eh bien votre message est l’image même d’un esprit borné qui comme c’est à la mode en ce moment se met a critiquer l’un des plus grands sociologues francais,(je ne suis pas un adepte de Bourdieu). Remettons les choses à leur place si Bourdieu est si peu reconnu aujourd’hui c’est qu’il s’est opposé au système télévisé actuel, autrement je suis persuadé que vous auriez été un adepte de cet intellectuel. J’ai d’ailleurs l’étrange impression que vous avez débiter ces propos sans même vous être interresser à l’oeuvre, a la pensée de Bourdieu. De plus ce fameux principe des "Dix raisons" à tout prix est des plus stupide.... Je m’arreterai là et regrette déjà d’avoir pris la peine de vous répondre
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> Dix raisons d’oublier Bourdieu,
Mathieu,
20 juin 2002
Je trouve "par hasard" article sur Pierre Carles. Que vois-je au dessous ? Un écrit au titre provocateur. Intéressé de lire ce récit populiste, je me penche sur son contenu. Je n’ai même pas envie de répondre rigoureusement sur le fond, car cela serait perdre mon temps. Juste pour dire que certains ici me font bien marrer. Faut arrêter les petites frustrations quotidiennes les gars. Je comprends que vous puissiez ne pas comprendre pas mal d’écrits de Bourdieu [qui est vrai est un sociologue dur à lire], mais au lieu de raconter des conneries, je sais pas moi, lisez Tintin, peut-être que vous pourrez avoir de meilleures critiques. Juste pour dire que l’on soit d’accord ou non sur le fond que proposait Bourdieu, on doit au moins avoir un minimum de respect et d’intelligence [ce qui manque à certains d’entre vous qui avez posté ces réations si je me permets, tout bonnement, minables]. Bourdieu est reconnu par tout le monde qui doit le reconnaitre. Il le sera toujours. C’est l’essentiel, et vous n’y changerez rien. Donc, oui tu as bien fait de ne pas développer tes "10 points en article". Perte de temps. Perte de temps. Exactement comme je fais actuellement, mais je n’ai pu m’empêcher. Ma réaction est décalée vis à vis de la date de cet écrit, mais bon, encore une fois, je n’ai pas pu résister à cela. Allez bien @vous
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> Dix raisons d’oublier Bourdieu,
le liquide de la tête,
11 juillet 2002
non non vous avez tous bien fait de répondre à ce connard mondain.C’est un peu comme ce snobisme de glandeur qui pousse certains des journalistes des "cahiers du cinema" a encenser "loft story" : on se force a tenir des propos "differents" pour ne finalement réaliser qu’on a dans la tête qu’une masse confuse de banalités, de là on s’invente un cheval de bataille à partir d’une petite idéee cynique et mal developpée qu’on croit originale("et bien moi,j’aime loft story","pierre bourdieu était inutile"...)mais qui n’est que réactionnaire et surtout,et c’est pourquoi ne vous en voulez pas de perdre du temps à lui répondre,surtout aussi débile que la fanfare médiatique dont ce type est persuadé de ne pas être victime. PS : Je ne REGRETTE PAS d’avoir répondu
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> Dix raisons d’oublier Bourdieu,
Grosse Fatigue,
8 octobre 2002
C’est marrant, je retrouve cette contribution sur Bourdieu, et aucun des détracteurs ne m’attaque sur le fond et ose reprendre vraiment point par point ce que j’ai développé dans Contre-Courants par exemple (http://contrecourants.free.fr/texte.php3?art=94).
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contrairement aux faits sociaux, la bêtise est valable en tout temps et en tout lieu,
harry potter, le sociologue magique,
8 février 2003
Il est vrai que face à cette énumération plus provocante par sa bêtise que par les idées qui y sont développées, il ne s’est trouvé personne pour démonter point par point cette argumentation à mon sens incohérente, partielle et partiale. Les insultes ferment le débat.
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> Dix raisons d’oublier Bourdieu,
Sherlock..,
12 juin 2004
Bonjour grosse fatigue..
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> Dix raisons d’oublier Bourdieu,
Bruno Bodin,
18 mars 2004
BIBLIOTHEQUE VIRTUELLE NUMERO 32 10 février 2002, Bruno Bodin, Editions SLOSKIES, 36 avenue des Ajoncs - 22770 – Lancieux. Courriel : bbruno7@wanadoo.fr PIERRE BOURDIEU"Le sociologue est quelqu’un qui va dans la rue et interroge le premier venu, l’écoute et essaie d’apprendre de lui." Cette citation du livre REPONSES, entretiens de Pierre Bourdieu avec Loïc Wacquant, a déterminé l’essentiel du plaisir que j’ai pris à mes quinzaines dernières années de vie professionnelle. Cette phrase, à y bien regarder extrêmement précise, nous savions que son auteur la mettait en pratique, ce qui rendait son enseignement plein de surprises et d’envies de recherche. Quand je dis "nous", je pense aux milliers de personnes que j’ai côtoyées avec mon amie Françoise dans ses amphis au Collège de France et dans les facultés de Sciences Humaines de Lyon, Nantes ou Poitiers. Je me souviens en particulier de l’amphi de Lyon plein à craquer de jeunes entre 20 et 25 ans venus là parce qu’ils savaient y rencontrer un professeur qui ne se contenterait pas de citer les livres des autres mais témoignerait de ses propres expériences individuelles et collectives. Bourdieu nous contait ses recherches, ses découvertes et ses doutes. Il exprimait ces doutes en s’excusant et en nous faisant rire : c’est, je crois, ce qui faisait son succès auprès de tous ces jeunes et ce pourquoi sa disparition nous fait mal. Ses excuses bredouillantes et son humour auto dirigé à la Coluche vont nous manquer : c’est un comportement tellement rare. Bourdieu passionnait tous ceux qui doutent (qui refusent "l’imposition d’impenser" comme il disait) et déclenchait une véritable haine chez ceux qui vivent de certitudes : les éditorialistes médiatiques, les intellectuels installés "rive gauche" et les petits marquis de l’ENA, Sciences Po et HEC, qui pour l’essentiel ont fait un contresens magistral sur son œuvre.J’ai lu à peu près tous ses livres et partout j’y ai rencontré, comme je l’ai rencontré au Collège de France, non seulement un refus radical du "prêt-à-penser", mais aussi des outils pour ne pas "laisser à l’état d’impensé sa propre pensée". Ces outils m’ont permis de comprendre les innombrables impostures du monde d’experts informatiques où je vivais professionnellement, et en particulier celles des cabinets de conseil comme Arthur Andersen ou Mac Kinsey qui font souffrir les gens par le biais du discours tout-technologique dominant. J’étais stupéfait de constater comment ce qui m’apparaissait désormais comme de grosses ficelles pouvait passer aux yeux de nombreux collègues comme des processus de conseil parfaitement rationnels.Comprendre mais aussi "comprendre pourquoi et comment on comprend" ... cette attitude réflexive de "méta compréhension" (je comprends leurs ficelles et je comprends pourquoi je les comprends) faisait penser à Achille Talon, personnage de bande dessinée qui explique la bande dessinée dans laquelle il se trouve... et auquel se comparait Bourdieu de son estrade du Collège de France provoquant l’un de ces immenses éclats de rire collectifs qui font partie intégrante de notre culture bourdieusienne. Et là réside enfin une autre clé du succès de notre Pierre : cette esthétique de parole, ce charisme personnel, dont sont dépourvus tant d’intellectuels tristounets. Avec un tableau noir, des craies, et quelques feuillets pour tous outils (quelle anomalie dans ce monde de paillettes !) l’esprit-corps Bourdieu nous interloquait, nous faisait rire, nous inquiétait, nous émouvait ... Il nous reste à relire ses livres - que de questions à se poser-, et à construire autour de nous, avec les armes redoutables qu’il nous a fait découvrir en nous-mêmes, un monde où chacun "aurait intérêt à être désintéressé".
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> Dix raisons d’oublier Bourdieu,
elian,
27 septembre 2004
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> Dix raisons d’oublier Bourdieu,
dan,
17 février 2005
Bourdieu n’était pas un penseur. Si vous aviez pris la peine de lire les nombreux auteurs qu’il a pillé d’Aristote à Marx en passant par Habermas et d’autres auteurs américains, vous vous appercevriez qu’il enfonce beaucoup de portes ouvertes. |